Aussile Sauveur annonce malheur Ă celui par qui arrive le scandale, et lui en prĂ©dit le chĂątiment: «Il vaudrait mieux pour lui qu'on lui mĂźt une meule de moulin au cou et qu'on le prĂ©cipitĂąt dans la mer». BĂšde le VĂ©nĂ©rable Notre-Seigneur fait ici allusion Ă un usage de la Palestine, oĂč le chĂątiment des grands crimes, chez les anciens Juifs, consistait Ă prĂ©cipiter les
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What's on TV & Streaming Top 250 TV Lemaistre de Sacy - 1701 - SAC Matthieu au monde Ă cause des scandales ! car il est nĂ©cessaire quâil arrive des scandales ; mais malheur Ă lâhomme par qui le scandale arrive !David Martin - 1744 - MARMatthieu au monde Ă cause des scandales ; car il est infaillible quâil nâarrive des scandales ; toutefois malheur Ă lâhomme par qui le scandale - 1811 - OSTMatthieu au monde Ă cause des scandales ; il est nĂ©cessaire, il est vrai, quâil arrive des scandales ; mais malheur Ă lâhomme par qui le scandale arrive !Ancien Testament Samuel Cahen - 1831 - CAHMatthieu verset nâexiste pas dans cette traduction !Les Ăvangiles de FĂ©licitĂ© Robert de Lamennais - 1846 - LAMMatthieu au monde, Ă cause des scandales. Car il est nĂ©cessaire quâil vienne des scandales cependant, malheur Ă lâhomme par qui le scandale et Rilliet - 1869 - PGRMatthieu au monde Ă cause des scandales ; car il est nĂ©cessaire que les scandales arrivent ; nĂ©anmoins malheur Ă lâhomme par qui le scandale arrive !Bible de Lausanne - 1872 - LAUMatthieu au monde Ă cause des scandales ! car il est nĂ©cessaire quâil arrive des scandales ; toutefois malheur Ă cet homme par qui le scandale arrive !Nouveau Testament Oltramare - 1874 - OLTMatthieu au monde Ă cause des scandales! Il est impossible quâil nây ait pas de scandales; nĂ©anmoins, malheur Ă lâhomme par qui le scandale arrive!John Nelson Darby - 1885 - DBYMatthieu au monde Ă cause des occasions de chute ! car il est nĂ©cessaire quâil arrive des occasions de chute ; mais malheur Ă cet homme par qui lâoccasion de chute Testament Stapfer - 1889 - STAMatthieu au monde Ă cause des scandales ! Il faut bien quâil arrive des scandales ; mais malheur Ă lâhomme par qui le scandales arrive ! »Bible AnnotĂ©e - 1899 - BANMatthieu au monde Ă cause des scandales ! Car il est nĂ©cessaire quâil arrive des scandales ; mais malheur Ă lâhomme par qui le scandale testament Zadoc Kahn - 1899 - ZAKMatthieu verset nâexiste pas dans cette traduction !Glaire et Vigouroux - 1902 - VIGMatthieu au monde Ă cause des scandales ! Car il est nĂ©cessaire quâil arrive des scandales ; mais malheur Ă lâhomme par qui le scandale arrive !Bible Louis Claude Fillion - 1904 - FILMatthieu au monde Ă cause des scandales! Car il est nĂ©cessaire quâil arrive des scandales; mais malheur Ă lâhomme par qui le scandale arrive!Louis Segond - 1910 - LSGMatthieu au monde Ă cause des scandales ! Car il est nĂ©cessaire quâil arrive des scandales ; mais malheur Ă lâhomme par qui le scandale arrive !Nouveau Testament et Psaumes - Bible Synodale - 1921 - SYNMatthieu au monde Ă cause des scandales ! Car il est nĂ©cessaire quâil arrive des scandales ; mais malheur Ă lâhomme par qui le scandale arrive !Bible Augustin Crampon - 1923 - CRAMatthieu au monde Ă cause des scandales ! Il est nĂ©cessaire quâil arrive des scandales ; mais malheur Ă lâhomme par qui le scandale arrive !Bible Pirot-Clamer - 1949 - BPCMatthieu au monde pour ses scandales ! Il est nĂ©cessaire quâil y ait des scandales ; mais malheur Ă celui par qui le scandale de JĂ©rusalem - 1973 - JERMatthieu au monde Ă cause des scandales ! Il est fatal, certes, quâil arrive des scandales, mais malheur Ă lâhomme par qui le scandale arrive !Nouveau Testament Osty et Trinquet - 1974 - TRIMatthieu au monde Ă cause des scandales ! Câest une nĂ©cessitĂ©, certes, quâarrivent les scandales, mais malheur Ă lâhomme par qui le scandale arrive !Segond Nouvelle Ădition de GenĂšve - 1979 - NEGMatthieu au monde Ă cause des scandales! Car il est nĂ©cessaire quâil arrive des scandales; mais malheur Ă lâhomme par qui le scandale arrive!Bible AndrĂ© Chouraqui - 1985 - CHUMatthieu lâunivers, Ă cause des trĂ©buchements ! Oui, il est fatal que viennent les trĂ©buchements ; cependant, oĂŻe, lâhomme par qui vient le trĂ©buchement !Les Ăvangiles de SĆur Jeanne dâArc - 1990 - JDCMatthieu le monde Ă cause des occasions de chute ! Certes, il est inĂ©vitable que viennent des occasions de chute. Cependant, malheureux lâhomme par qui la chute vient !Les Ăvangiles de Claude Tresmontant - 1991 - TREMatthieu au monde de la durĂ©e prĂ©sente Ă cause des obstacles qui font buter trĂ©bucher et tomber car il est inĂ©vitable quâils viennent les obstacles qui font buter trĂ©bucher et tomber mais hoĂŻ Ă lâhomme par la main de qui lâobstacle vientBible des Peuples - 1998 - BDPMatthieu au monde Ă cause des scandales! Il est nĂ©cessaire que les scandales arrivent, mais malheur Ă celui qui est la cause du 21 - 2007 - S21Matthieu Malheur au monde Ă cause des piĂšges ! Les piĂšges sont inĂ©vitables, mais malheur Ă lâhomme qui en est responsable !King James en Français - 2016 - KJFMatthieu au monde Ă cause des offenses! car il est nĂ©cessaire, quâil arrive des offenses; mais malheur Ă cet homme par qui lâoffense arrive!La Septante - 270 avant JĂ©sus-Christ - LXXMatthieu verset nâexiste pas dans cette traduction !La Vulgate - 1454 - VULMatthieu mundo ab scandalis necesse est enim ut veniant scandala verumtamen vae homini per quem scandalum venitAncien testament hĂ©breu - Biblia Hebraica Stuttgartensia - 1967 - BHSMatthieu verset nâexiste pas dans cette traduction !Nouveau testament grec - 2010 - SBLGNTMatthieu ÎșÎŒ áŒÏ᜞ Μ ÎșÎ±ÎœÎŽÎŹÎ»ÎœÎ áŒÎœÎŹÎłÎșη âžÎłáœ°Ï áŒÎ»ÎžÎ”áżÎœ ᜰ ÎșÎŹÎœÎŽÎ±Î»Î±, ÏλᜎΜ ÎżáœÎ±áœ¶ âžáŒÎœÎžÏÏÏ ÎŽÎčâ Îżáœ áœž ÎșÎŹÎœÎŽÎ±Î»ÎżÎœ áŒÏÏΔαÎč.
Onretrouve Ă chaque fois, chez celui par qui le malheur arrive une accumulation inquiĂ©tante de traits de personnalitĂ© psychopathiques. Voici ce quâon peut lire dans la presse Ă propos d
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Weve found 782 phrases and idioms matching malheur Ă celui par qui le scandale arrive. Sort:Relevancy A - Z. voilĂ qui est parler: Se dit lorsque quelquâun fait des propositions plus avantageuses quâon ne sây attendait. Rate it: (5.00 / 1 vote) Ă qui tu le dis: Sâemploie quand une personne a entendu une phrase quâelle Ă©tait mieux placĂ©e pour dire elle-mĂȘme. Rate it: (4.00 /
Malheur Ă la nation oĂč existent mille croyances mais aucune religion. ⊠Malheur Ă la nation divisĂ©e, dont chaque partie revendique pour elle-mĂȘme le nom de nation ». Gebran Khalil Gebran, Le Jardin du est de plus en plus difficile de dissiper cette impression nausĂ©abonde que lâunivers mental libanais est frappĂ© de rĂ©gression et quâun sectarisme superstitieux et idolĂątre, plus proche du tribalisme que du communautarisme et mĂątinĂ© de populisme, a pris le pas sur toute possibilitĂ© de malicieux, ce phĂ©nomĂšne se pare dâune couverture religieuse/identitaire pour rĂ©veiller les instincts les plus bas des foules, lâennemi Ă abattre ici Ă©tant Ă©videmment une poussĂ©e vers lâindividualitĂ© qui serait encouragĂ©e par le binĂŽme diversitĂ©-libertĂ©, au nom de la prĂ©servation des croyances et fondements de la foi, et, au-delĂ , dâun sentiment illusoire mais sĂ©curisant de force garanti par lâesprit de corps communautaire. Câest lâautre nom de la dhimmitude, ou le renoncement aux responsabilitĂ©s induites par la citoyennetĂ©, au profit du confort grĂ©gaire de la matrice identitaire. Or, au nom de la force » de la assabiya qui consolide les radicaux et affaiblit ceux qui prĂȘchent la modĂ©ration, lâĂ©quilibre et la mesure, toutes les communautĂ©s se replient progressivement sur une posture minoritaire. Preuve en est, par exemple, le net recul du courant du Futur de Saad Hariri face au projet de mariage civil quâil avait lui-mĂȘme lancĂ© il y a quelques annĂ©es face Ă la loi Ferzli pour combattre les volontĂ©s politiques de cette loi de briser toute perspective de front politique transcommunautaire et ramener chacun dans son enclos. Dans le cas chrĂ©tien, cela se traduit par un abandon progressif des valeurs de libertĂ©, dâouverture, dâacceptation de lâautre dans toutes ses diffĂ©rences et de misĂ©ricorde, qui constituent lâessence du message du Christ, et qui figuraient dĂ©jĂ dans lâidĂ©e de minoritĂ©s associĂ©es » Ă lâorigine de la Constitution de 1926. Michel Chiha, lâartisan de la Loi fondamentale, nâavait pas en tĂȘte le Liban comme un enclos de tribus communautaires aguerries, mais comme un pays devant, Ă travers ses institutions et son vivre-ensemble, dĂ©boucher sur un dĂ©passement du tribalisme en vue de parvenir Ă la citoyennetĂ©. Mais cela se traduit aussi, au plan politique, par une rĂ©signation croissante face Ă la nĂ©cessitĂ© de dĂ©fendre le caractĂšre dĂ©finitif de lâentitĂ© libanaise, la souverainetĂ© et lâindĂ©pendance par exemple, au profit dâune servitude volontaire dans ce cadre quâil convient de replacer le vacarme hystĂ©rique actuel autour de lâaffaire du groupe MashrouÊ» Leila et la volontĂ© de certains groupes radicaux de prohiber par la menace, la contrainte et les anathĂšmes le concert Ă Byblos, Ă moins que la formation ne fasse son mea culpa devant lâ et la censure au nom dâune joute entre les assabiyat communautaires fortes » rĂ©cupĂ©rĂ©es par les partis occupent ainsi de plus en plus de place dans lâespace politique libanais, dans une descente aux abĂźmes sociale, politique et culturelle qui nâa pour autre nom que le suicide collectif. Aucune communautĂ© nâĂ©chappe au piĂšge le Hezbollah avec les caricatures de Khamenei et de Nasrallah ou lâinterdiction des concerts de Samba dans ses » rĂ©gions, les islamistes sunnites avec ceux de Mahomet, les chrĂ©tiens face au hard-rock et aux pantoufles de Halloween, le Parti byzantin » face au film de propagande turc sur la chute de Constantinople, etc.. La rĂ©action populiste chrĂ©tienne face aux provocations » â caractĂ©ristiques de la contre-culture pop-rock â de MashrouÊ» Leila constituerait dans ce sens, ne serait-ce quâinconsciemment, une rĂ©ponse mimĂ©tique Ă lâĂ©pisode rĂ©cent au cours duquel une dĂ©putĂ©e sunnite de Beyrouth a dĂ» faire acte de contrition devant le mufti de la RĂ©publique aprĂšs avoir fait acte de prĂ©sence Ă une messe⊠avant de se retrouver de nouveau sous les foudres des masses sunnites pour avoir bu un cafĂ© Ă BkerkĂ© durant le mois de RamadanâŠOr en dĂ©truisant lâattachement Ă la libertĂ© comme Ă©lĂ©ment constitutif de la personne humaine, et son corollaire, la capacitĂ© de cet individu Ă pouvoir dĂ©cider lui-mĂȘme et faire ses propres choix, sans tuteur, câest lâensemble du pays que lâon dĂ©truit, car ce quâil rĂ©sulte de la fragilisation de cette spĂ©cificitĂ©, câest, dâun cĂŽtĂ©, une dĂ©responsabilisation de lâindividu et un avortement de toute citoyennetĂ© potentielle, mais aussi, de lâautre, une atteinte fondamentale aux libertĂ©s des groupes sociocommunautaires cherche donc Ă dĂ©montrer que son esprit de corps lui confĂšrerait la force â et donc le pouvoir â dâinterdire, par-delĂ la volontĂ© de lâĂtat, mĂȘme si cela aboutit, au demeurant, Ă la perte de son identitĂ©, de sa mission, de ses vĂ©ritables valeurs. Pourvu que chacun puisse montrer Ă lâautre quâil a, de facto, les mĂȘmes droits, les mĂȘmes privilĂšges et la mĂȘme illusion de puissance que lâautre. Et, au pire, pour Ă©viter le retour Ă lâĂ©tat de nature, celui de la guerre de tous contre tous, pourquoi donc ne pas retourner au LĂ©viathan, celui qui viendra trancher les litiges et assurer la protection en proclamant lâinterdit, quâil sâappelle autoritĂ© ecclĂ©siastique, puissance de tutelle ou appareil sĂ©curitaire rĂ©pressif... ?On ne peut pas prendre position en faveur de la citoyennetĂ© et contribuer Ă renforcer son avortement. La censure engendre en effet lâautocensure, câest-Ă -dire la dĂ©pendance et la rĂ©pression, puis la dĂ©responsabilisation, lâignorance, la peur â et, au final, la violence. Il sâagit de lâenvers de la citoyennetĂ©, fondĂ©e sur la responsabilitĂ©, elle-mĂȘme rĂ©sultante de la libertĂ©, qui est, encore une fois, donc la justice qui est amenĂ©e Ă jouer un plus grand rĂŽle, aux juges dâavoir la sagesse de modĂ©rer les dĂ©bats, dans la mesure oĂč il est de leur mission de contribuer au renforcement de la loi comme autoritĂ© de rĂ©fĂ©rence, et donc de lâĂtat, avec la libertĂ© comme norme, comme principe fondateur et fondamental. Dans le cas de la controverse actuelle, le prĂ©cĂ©dent est grave, dans la mesure oĂč les institutions religieuses sâarrogent un droit de regard prĂ©alable et arbitraire â ce qui peut paraĂźtre sacrilĂšge pour une personne ne lâest pas pour une autre â qui nâest plus de leur ressort depuis le fameux Index, voire depuis⊠lâInquisition.Lire aussi LibertĂ© dâexpression ne cĂ©dons pas face Ă la violence !Reste Ă savoir enfin si MashrouÊ» Leila et ses chansons mĂ©ritent que le ciel leur tombe sur la tĂȘte. Lâart, dans sa fonction, est lâexpression dâune multitude de choses la beautĂ© comme la laideur, le bien-ĂȘtre comme le mal-ĂȘtre, le sacrĂ© comme le profane, lâĂ©lĂ©vation comme la chute, le fantasme comme la rĂ©alitĂ©, etc. En dâautres termes, lâart est une reprĂ©sentation de lâhumain dans toute sa complexitĂ© et ses contradictions. Il est bien plus le rĂ©sultat dâune certaine forme de libĂ©ration et de folie â dâexorcisme cathartique â consciente ou inconsciente. Il faut garder Ă lâesprit que les tentatives de rationaliser, de dompter, de discipliner, de canaliser lâart dans une fonction sociale ou politique relĂšvent de lâesprit totalitaire et conduisent Ă lâautocensure, au syndrome Pinochet » de servitude volontaire mĂ©canique, chanson du groupe, Djin », qui fait aujourdâhui polĂ©mique, est plus dans lâesprit de lâhĂ©donisme dionysiaque nietzschĂ©en, pas dans lâesprit de la promotion ou de lâapologie de quelque valeur, notamment du satanisme â Ă considĂ©rer quâil ne soit pas permis, du point de vue de la libertĂ© dâexpression, dâadorer qui lâon veut, Ă condition de ne pas troubler lâordre public. Lâauteur y dĂ©crit une sorte de rituel Ă caractĂšre primitif, qui ressemble Ă une libĂ©ration de toutes les pulsions face Ă un carcan sociĂ©tal de valeurs sociales, sexuelles, morales, religieuses. Il veut devenir fou », câest-Ă -dire sâaffranchir des valeurs sociales en se retranchant dans le plaisir, lâanimalitĂ©, le vin, le gin, etc. Djin » nâest pas Ă prendre dans le sens littĂ©ral occulte. Les allusions Ă la religion non plus. Nous sommes plus dans une lecture baudelairienne du plaisir dionysiaque revisitĂ© dans le genre dâun Jim Morrison, par chanteur de MashrouÊ» Leila veut retourner au grĂ©gaire par le plaisir dionysiaque. Dâautres veulent retourner au grĂ©gaire par la porte du sectarisme et du tribalisme câest en partie la rĂ©action de ceux qui ont Ă©tĂ© offusquĂ©s par la chanson au point de vouloir interdire par la contrainte le groupe de se produire Ă Jbeil. Hamed Sinno exprime quelque part ce que Marcel Gauchet, et avant lui Max Weber, qualifiaient de dĂ©senchantement du monde ». Nâest-il pas ainsi possible de voir, au contraire, dans cette chanson, plutĂŽt quâun sacrilĂšge, une volontĂ© impulsive de renouer avec le sacrĂ© dans un monde complĂštement dĂ©sacralisĂ© ?Cette grille de lecture laisse penser que toute cette histoire ne mĂ©rite pas tant dâimportance. Le texte, dâailleurs, manque de consistance et de substance. Câest cette hĂ©sitation, cette ambiguĂŻtĂ©, qui fait sa faiblesse, tandis que ses dĂ©tracteurs, eux, sont forts de leur orgueil, celui de la connaissance, et peuvent se permettre de se substituer Ă Dieu pour le condamner comme hĂ©rĂ©tique ou satanique ».Faut-il donc dresser les potences et rallumer les bĂ»chers pour tout cela ? Le temps est-il revenu de brĂ»ler les Ćuvres dâAverroĂšs, Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, LautrĂ©amont, Nietzsche, Spinoza, Brassens, LĂ©o FerrĂ©, Pasolini, Desproges ou Madonna par exemple parce quâils ont Ă©tĂ©, chacun Ă son Ă©poque, choquants, en rĂ©volte contre les contraintes, les conventions et les rĂšgles de leur Ă©poque ?Ou bien sâagit-il dâune perte de temps et dâĂ©nergie dans une polĂ©mique inutile qui dĂ©note effectivement dâune angoisse profonde de fragilitĂ© et de faiblesse â encore une fois, le contraire absolu de ladite force » prĂ©tendue â dans le tissu socio-communautaire libanais et chrĂ©tien en particulier ? La scĂšne ressemble quelque peu Ă lâhystĂ©rie collective du couvent des Ursulines au XVIIe siĂšcle, contĂ©e par Aldous Huxley 1952 et adaptĂ©e Ă lâĂ©cran par Ken Russell The Devils, 1971 oĂč, par le biais dâune machination fomentĂ©e par Richelieu, les religieuses en viennent Ă avouer collectivement quâelles ont frayĂ© avec le Malin sous les ordres de leur supĂ©rieur, lâĂ©vĂȘque de Loudun Urbain Grandier, dont le cardinal veut se dĂ©barrasser parce quâil constitue un obstacle Ă ses projets politiques. Il sera accusĂ© de sorcellerie et ultimement condamnĂ© au bĂ»cher, aprĂšs avoir persistĂ© jusquâau bout Ă rejeter les accusations dirigĂ©es contre luiâŠIl faut donc se mĂ©fier du jugement de la foule, surtout lorsque des groupes radicaux ont pris la dĂ©cision dâenflammer les instincts et les esprits en jouant sur la corde la plus sensible la communautĂ© en danger » contre un mal, lâautre, quâil soit un frĂšre, un rival ou un ennemi, une force rĂ©elle, invisible ou occulte, quâil nous ressemble ou quâil soit diffĂ©rent. Câest le rĂŽle des autoritĂ©s politiques et religieuses, mais aussi et surtout des institutions judiciaires, de la sociĂ©tĂ© civile et des mĂ©dias de rectifier le dĂ©bat au lieu de se soumettre, par calcul politicien, au verdict du peuple », et de cĂ©der aux passions populaires. Le scandale, qui nâest autre que Satan, arrive par lâincapacitĂ© de la foule Ă Ă©chapper Ă lâesprit rivalitaire qui est en fait un esprit de servitude, car il nous agenouille devant tous ceux qui lâemportent sur nous, sans voir lâinsignifiance des enjeux », Ă©crit lâanthropologue chrĂ©tien RenĂ© Girard. La prolifĂ©ration des scandales, donc des rivalitĂ©s mimĂ©tiques, est ce qui produit le dĂ©sordre et lâinstabilitĂ© dans la sociĂ©tĂ©, dâoĂč la nĂ©cessitĂ© de chercher un bouc-Ă©missaire innocent, qui ramĂšnerait de lâordre », poursuit-il. Câest alors, explique-t-il, quâune fausse transcendance » sâopĂšre et que Satan expulse Satan », selon la formule de JĂ©sus-Christ. La stabilitĂ© est opĂ©rĂ©e temporairement par une opĂ©ration satanique », rĂ©sume-t-il, avant dâajouter que Satan est un trope puissant pour dĂ©crire lâunanimitĂ© de la foule quand elle accuse la victime dâĂȘtre coupable et quâelle lâassassine ensuite sans aucun remords. » Jâai vu Satan tomber comme lâĂ©clair et Celui par qui le scandale arrive. Conjurer Satan, câest donc Ă©chapper aux mĂ©canismes de la rivalitĂ© scandale » le plus connu, dans ce cadre, nâest autre que celui de JĂ©sus-Christ, condamnĂ© par la masse au profit du voleur avons-nous appris depuis ? Lire l'intĂ©gralitĂ© de L'Orient littĂ©raire iciLire aussiAprĂšs lâannulation du concert de Mashrouâ Leila, la sociĂ©tĂ© civile contre-attaqueChers Hamed, Carl, Haig et Firas, le billet de MĂ©dĂ©a AZOURILibertĂ©s publiques au Liban Le silence coupable des partis politiques doit cesser »Crise de foi, l'Ă©dito d'Emilie SUEUREx-pressions, l'Ă©ditorial de Issa GORAIEBAnnulation du concert de Mashrou' Leila les appels Ă protĂ©ger la libertĂ© d'expression se multiplientĂcraser lâinfĂąme dans lâaffaire Mashrouâ LeilaMashrouâ Leila, de vrais musiciens dâabord Synopsis- Candice Renoir (S01E07) Le corps d'un adolescent de 17 ans, Nathan Rieux, est retrouvĂ© sans vie non loin d'un canal. Les enquĂȘteurs trouvent sur lui un gros sachet de cannabis qui laisse Ă penser que la victime se livrait au commerce de la drogue. Candice s'escrime Ă rassembler les morceaux d'un autocollant dĂ©chirĂ© retrouvĂ© exemplesexemplesdĂ©finitiondĂ©finitionExemplesPhrases avec les mots scandale + arriverLe scandale arrive Ă son Le Glay 1814-1894C'est par elle que le scandale arrive et c'est elle qui portera le poids de la de La GorceLe plus souvent, le scandale arrive par des dettes qui ne peuvent ĂȘtre Ă©conomie & sociĂ©tĂ©, 2010, Charlotta WOLFF il faut que le scandale arrive !Pierre LouĂżs 1870-1925On attend le nouvel enfant terrible par qui le scandale théùtrales, 2017, Michael Delaunoy ĂȘtes une occasion de scandale, et malheur Ă celui par qui le scandale 1997, Pierre Aussage les adolescents sont ceux par qui le scandale de psychologie clinique, 2017, DaniĂšle Epstein adolescents sont donc ceux par qui le scandale Genre humain, 2019, DaniĂšle Epstein descend dans la rue, qu'il piĂ©tine et brĂ»le le drapeau des pays d'oĂč le scandale 2006, Albert Assaraf Ces exemples proviennent de sites partenaires externes. Ils sont sĂ©lectionnĂ©s automatiquement et ne font pas lâobjet dâune relecture par les Ă©quipes du Robert. En savoir plus. exemplesexemplesdĂ©finitiondĂ©finitionDĂ©finitionConsulter la dĂ©finition de scandale nom masculinConsulter la dĂ©finition de arriver verbe intransitifQuâils viennent me chercher!», avait lancĂ© Emmanuel Macron, l'Ă©tĂ© dernier, Ă ceux qui lui demandaient des comptes. «PrĂ©sident, nous voilĂ !», rĂ©pondent les Gilets jaun
Chapitre 17 Enseignement Ă pardonner v. 1-4. â Dans ce monde oĂč le mal domine, JĂ©sus dit quâil est impossible quâil nâarrive pas des occasions de chute ou scandales. Un scandale est un acte par lequel on entraĂźne au mal quelquâun qui cherche Ă marcher dans le bien, chose tout particuliĂšrement grave sâil sâagit de personnes jeunes dans la foi. Câest ce que Satan cherche Ă faire envers tous par des moyens trĂšs divers. Lorsquâil nây aura plus que le bien, quand le Fils de lâhomme aura ĂŽtĂ© tous les scandales et ceux qui commettent lâiniquité» Matthieu 1341, il nây aura plus dâoccasion de chute. En attendant, malheur Ă ceux par qui elles ont lieu. Ce qui honore Dieu au milieu dâun monde qui lâoublie, câest la foi; elle doit caractĂ©riser le croyant avec la simplicitĂ© dâun petit enfant, qui a une si grande valeur pour Dieu. JĂ©sus dit quâil vaudrait mieux ĂȘtre jetĂ© dans la mer avec une meule dâĂąne au cou que de scandaliser un de ces petits v. 2, paroles bien solennelles et qui nous font comprendre la gravitĂ© dâun tel mal aux yeux de Dieu. HĂ©las! les occasions de chute ne proviennent pas du monde seulement, mais aussi des chrĂ©tiens qui se permettent des actes mauvais; dâautres nâauraient pas eu peut-ĂȘtre la libertĂ© de les commettre, mais sâautorisent dâeux pour en faire autant. Câest pourquoi JĂ©sus dit Prenez garde Ă vous-mĂȘmes» v. 3. Il faut veiller sur soi, afin de nâĂȘtre pas une occasion de chute en tombant soi-mĂȘme, se juger constamment et contrĂŽler sa voie Ă la lumiĂšre de la Parole de Dieu, ĂȘtre sĂ©vĂšre pour soi et plein de grĂące envers ses frĂšres qui peuvent manquer aussi. Le Seigneur ajoute Si ton frĂšre pĂšche, reprends-le, et sâil se repent, pardonne-lui; et si sept fois le jour il pĂšche contre toi, et que sept fois il retourne Ă toi, disant Je me repens, tu lui pardonneras» v. 3-4. Cela veut dire quâil faut toujours pardonner, agir envers ceux qui ont manquĂ© comme Dieu lâa fait envers nous. La grĂące dont nous sommes les objets doit nous caractĂ©riser dans toutes nos voies. On remarquera que, si le pardon doit ĂȘtre accordĂ©, au besoin, sept fois le jour, câest seulement si le coupable exprime sa repentance Si sept fois le jour il pĂšche contre toi, et que sept fois il retourne Ă toi, disant Je me repens, tu lui pardonneras». Il faut porter un vĂ©ritable intĂ©rĂȘt Ă celui qui a manquĂ© en sâassurant que lâĆuvre de la repentance a eu lieu chez lui, sâil a eu Ă faire avec Dieu au sujet de son pĂ©chĂ© pour en ĂȘtre purifiĂ©; car pardonner sans cela, câest encourager le mal; le jugement de soi-mĂȘme est le moyen de ne pas tomber de nouveau. En cela, comme en toutes choses, il faut ĂȘtre imitateur de Dieu qui pardonne toujours, mais aprĂšs la confession du pĂ©chĂ© voir Psaume 325; 1 Jean 19. Il est dit aussi en ĂsaĂŻe 2610 Si lâon use de grĂące envers le mĂ©chant, il nâapprend pas la justice; dans le pays de la droiture il fait le mal, et il ne voit pas la majestĂ© de lâĂternel». Cependant, si pour faire connaĂźtre son pardon, il faut quâil y ait eu repentance, cela ne veut pas dire quâil faut attendre ce moment-lĂ pour pardonner dans son cĆur; on attendra pour faire connaĂźtre le pardon, mais par devers soi on doit pardonner aussitĂŽt la faute connue; malheureusement cela nâarrive pas toujours. Nous attendons le plus souvent de voir des dispositions Ă la repentance pour ĂȘtre nous-mĂȘmes disposĂ©s Ă pardonner, tandis que, avec lâesprit de grĂące dans lequel nous devons vivre, le pardon doit avoir lieu immĂ©diatement. Nous devrions attendre avec une sorte dâimpatience le moment de pouvoir le faire connaĂźtre au coupable, dĂšs que nous entendons ce petit mot, souvent difficile Ă dire Je me repens». Il va sans dire que le pardon est sans retour; comme Dieu lâa fait envers nous, disant Je ne me souviendrai plus jamais de leurs pĂ©chĂ©s ni de leurs iniquitĂ©s» HĂ©breux 1017. Faire ce qui est commandĂ© v. 5-10. â Dans le domaine de la grĂące, celui de la foi et de lâobĂ©issance, le cĆur Ă©prouve parfois quelque difficultĂ© Ă agir avec de tels principes. CâĂ©tait surtout Ă©trange pour les disciples qui avaient vĂ©cu jusquâalors sous la loi, principe lĂ©gal qui convient Ă chacun. Câest pourquoi, en entendant les exhortations du Seigneur au sujet du pardon, ils lui demandent dâaugmenter leur foi, pensant quâil faut une grande foi pour marcher dans un chemin si Ă©tranger au cĆur naturel. Le Seigneur leur rĂ©pond Si vous avez de la foi comme un grain de moutarde, vous diriez Ă ce mĂ»rier DĂ©racine-toi, et plante-toi dans la mer; et il vous obĂ©irait» v. 6, chose impossible selon la nature. La foi, quelle quâelle soit, fait intervenir Dieu, et dĂšs lors tout peut arriver, car rien nâest impossible Ă Dieu. Il sâagit simplement de savoir si la chose pour laquelle on fait intervenir Dieu est selon lui; si elle est contraire Ă sa volontĂ©, câest inutile de parler de foi, mais si lâon est avec Dieu, dans le chemin de lâobĂ©issance, dans la jouissance de sa communion et lâintelligence spirituelle qui discerne ses pensĂ©es, tout ce que lâon peut dĂ©sirer se fera, et, surtout, nous pourrons accomplir ce quâil demande de nous sans question de grande ou de petite foi, parce que la foi, dans quelque mesure que ce soit, compte sur Dieu seul. Il y a, avec la foi, un autre principe auquel le Seigneur veut rendre attentifs les disciples, et nous aprĂšs eux, par lâexemple donnĂ© dans les v. 7-9 celui de lâobĂ©issance. Le Seigneur suppose le cas dâun maĂźtre qui, ayant un serviteur labourant ou paissant le bĂ©tail, lorsquâil rentre du travail, ne lui dit pas de se mettre Ă table; il lui enjoint, au contraire, de lui apprĂȘter Ă souper; aprĂšs cela, il pourra manger et boire. Le Seigneur dit du maĂźtre Est-il obligĂ© Ă lâesclave de ce quâil a fait ce qui avait Ă©tĂ© commandĂ©? Je ne le pense pas. Ainsi, vous aussi, quand vous aurez fait toutes les choses qui vous ont Ă©tĂ© commandĂ©es, dites Nous sommes des esclaves inutiles; ce que nous Ă©tions obligĂ©s de faire, nous lâavons fait» v. 9-10. Remarquons que le Seigneur ne dit pas Est-il obligĂ© Ă lâesclave de ce quâil eut une grande foi»; mais de ce quâil a fait ce qui lui a Ă©tĂ© commandé». De mĂȘme il dit Quand vous aurez fait toutes les choses qui vous ont Ă©tĂ© commandĂ©es, dites ...» et non Quand vous aurez eu une grande foi». La foi disposant de la puissance de Dieu pour accomplir sa volontĂ© ne peut se sĂ©parer de lâobĂ©issance. Lorsque nous connaissons la volontĂ© de Dieu, nous devons simplement obĂ©ir, sans nous demander si nous avons la foi pour lâaccomplir, comme lâesclave qui, rentrant des champs, au lieu de se reposer, boire et manger, obĂ©it Ă son maĂźtre en lui prĂ©parant son repas et en le servant. Il ne lui dit pas quâil lui faut une grande foi pour cela. Souvent, aprĂšs avoir connu la pensĂ©e de Dieu, au lieu dâobĂ©ir, on dit quâon nâa pas la foi pour agir, parce quâon regarde aux consĂ©quences de lâobĂ©issance, pĂ©nibles parfois. La foi des martyrs les a placĂ©s sur le chemin de lâobĂ©issance; ils ont donnĂ© leur vie plutĂŽt que de dĂ©sobĂ©ir, selon le divin ModĂšle qui mourut plutĂŽt que de manquer Ă lâobĂ©issance. Lâesclave ayant obĂ©i, le maĂźtre lui doit-il une grande reconnaissance? Le Seigneur dit Je ne le pense pas». Lâesclave est sa propriĂ©tĂ©; le croyant aussi appartient Ă son Seigneur, il est son esclave rachetĂ© Ă grand prix. En retour de tout lâamour qui a fait les frais de ce rachat, il doit au Seigneur son ĂȘtre, sa vie, tout entiers. Il ne peut compter avec un tel maĂźtre; il lui doit tout. Câest dans cet esprit de dĂ©vouement et dâobĂ©issance quâil faut servir sous le rĂ©gime de la grĂące qui a remplacĂ© celui de la loi, en ne prenant en considĂ©ration que la volontĂ© du Seigneur et son grand amour, sans penser que notre obĂ©issance est mĂ©ritoire. Ayant fait tout notre devoir, si jamais nous le faisons, nous pouvons nous appeler serviteurs inutiles; ce que nous Ă©tions obligĂ©s de faire, nous lâavons fait». VoilĂ le sentiment que nous devons avoir de nous-mĂȘmes, comme esclaves de Christ, de celui qui nous a aimĂ©s plus que sa propre vie et qui nous fournit tout le nĂ©cessaire pour le servir. Nous savons que le Seigneur tiendra un tout autre langage Ă ses serviteurs fidĂšles au jour oĂč chacun recevra sa louange. JĂ©sus le dit lui-mĂȘme au chap. 1237, 44; en Matthieu 2521, 23; on voit aussi dans ce mĂȘme chapitre, v. 31 Ă 40, que le Seigneur rappelle Ă ceux qui sont Ă sa droite des services quâils ne croient pas avoir accomplis, tant son cĆur prĂȘte attention aux plus petites choses faites pour lui. Un verre dâeau froide donnĂ© en son nom ne perdra pas sa rĂ©compense. Mais dans le passage qui nous occupe il ne sâagit que de ce que le serviteur doit penser de lui en rapport avec son service. Aujourdâhui, on a perdu de vue ce principe dâobĂ©issance dans une grande mesure, au milieu de ceux qui pensent servir le Seigneur. On parle beaucoup de foi, dâactes de foi, de guĂ©risons et dâautres faits trĂšs intĂ©ressants peut-ĂȘtre; on en Ă©crit des livres. Mais on fait peu de cas de lâobĂ©issance due au Seigneur en conformant sa marche, individuelle ou collective, Ă lâenseignement immuable de la parole de Dieu. Chez lâassemblĂ©e de Philadelphie Apocalypse 3, le Seigneur se plaĂźt Ă reconnaĂźtre, malgrĂ© le peu de force qui la caractĂ©rise, une marche conforme Ă sa parole et Ă son nom. Tu as gardĂ© ma parole, et tu nâas pas reniĂ© mon nom». Celui qui a mes commandements et qui les garde, câest celui-lĂ qui mâaime». Si quelquâun mâaime, il gardera ma parole» Jean 1421, 23. Souvenons-nous que lâobĂ©issance va avec la foi, et que, si nous connaissons la pensĂ©e de Dieu, câest pour obĂ©ir sans raisonner et sans attendre dâĂȘtre sous lâeffet dâune autre puissance que la pensĂ©e et la jouissance de lâamour dont nous sommes les objets de la part de celui qui est mort pour nous. Les dix lĂ©preux v. 11-19. â En se rendant de GalilĂ©e Ă JĂ©rusalem, JĂ©sus rencontra, dans un village, dix hommes lĂ©preux qui sâarrĂȘtĂšrent de loin et criĂšrent JĂ©sus, maĂźtre, aie pitiĂ© de nous! Et les voyant, il leur dit Allez, montrez-vous aux sacrificateurs. Et il arriva quâen sâen allant ils furent rendus nets» v. 13-14. Les sacrificateurs nâavaient quâĂ constater la guĂ©rison; ils ne faisaient rien de plus. Dieu seul pouvait guĂ©rir de cette terrible maladie. Lâun des lĂ©preux, un Samaritain, voyant quâil Ă©tait guĂ©ri, revint sur ses pas, glorifiant Dieu Ă haute voix; et il se jeta sur sa face aux pieds de JĂ©sus, lui rendant grĂąces» v. 15-16. JĂ©sus dit Les dix nâont-ils pas Ă©tĂ© rendus nets? Et les neuf, oĂč sont-ils? Il ne sâen est point trouvĂ© qui soient revenus pour donner gloire Ă Dieu, si ce nâest cet Ă©tranger» v. 17-18. Dans les enseignements des chapitres qui prĂ©cĂšdent nous avons vu que la grĂące, remplaçant la loi, amenait un changement complet dans la maniĂšre dâagir de ceux qui en Ă©taient les objets. La personne du Seigneur en est la source, lâexpression comme il est lâobjet du cĆur qui a puisĂ© Ă cette source. DĂšs lors, les formes du culte ordonnĂ© par MoĂŻse, pendant que Dieu nâĂ©tait pas rĂ©vĂ©lĂ© en grĂące, nâavaient plus aucune valeur, comme le montre lâĂ©pĂźtre aux HĂ©breux. Câest aussi lâenseignement que nous donne la guĂ©rison des dix lĂ©preux et la conduite du Samaritain guĂ©ri. Les neuf, qui Ă©taient Juifs, dĂ©livrĂ©s comme le Samaritain, ne se sont pas laissĂ© diriger par la grĂące dont ils avaient Ă©tĂ© les objets; ils demeurent attachĂ©s au systĂšme lĂ©gal qui nâĂ©tait que figure et ombre de ce que JĂ©sus venait introduire; tout en Ă©tant guĂ©ris, ils ne vont pas plus loin. Le Samaritain, hors du giron de la loi, revient naturellement Ă JĂ©sus, source de la grĂące, donne gloire Ă Dieu et se jette aux pieds du Sauveur pour le bĂ©nir. Aussi JĂ©sus lui dit LĂšve-toi, et tâen va; ta foi tâa guĂ©ri». Il possĂšde dĂ©sormais tout ce qui est nĂ©cessaire pour le temps et lâĂ©ternitĂ©; il nâa besoin ni de la loi, ni des sacrificateurs. Dans son attitude, le Samaritain prĂ©sente lâĂ©tat normal de tout croyant lavĂ© de ses pĂ©chĂ©s par le sang de Christ nous savons que la lĂšpre est une figure du pĂ©chĂ©, il est devenu un adorateur de Dieu rĂ©vĂ©lĂ© en Christ, du Dieu de grĂące et de Christ lui-mĂȘme. Tel est le culte rendu au PĂšre et au Fils depuis que le Saint Esprit est descendu pour faire connaĂźtre tous les rĂ©sultats de lâĆuvre de Christ. Telle devrait ĂȘtre aussi lâattitude constante du croyant, aux pieds du Seigneur, source de tout bonheur, de la lumiĂšre et de lâamour. LĂ son cĆur peut ĂȘtre alimentĂ© de la grĂące et de la puissance dont il a besoin pour agir comme nous lâavons vu dans les deux premiĂšres parties de ce chapitre, afin quâil ne soit en scandale Ă personne, quâil use de grĂące envers tous et serve le Seigneur sans compter, en retour de tout son amour pour nous. On comprend la perte que firent les neuf, demeurĂ©s attachĂ©s aux ordonnances qui les empĂȘchaient de se mouvoir librement sur le terrain de la grĂące, avec JĂ©sus pour centre et pour objet, guĂ©ris, il est vrai, mais sans joie rĂ©elle et sans dĂ©veloppement spirituel. Cet Ă©tat est aujourdâhui celui de beaucoup de personnes sauvĂ©es, sans ĂȘtre affranchies des systĂšmes humains qui voilent la beautĂ© et la valeur de leur Sauveur et Seigneur, et les empĂȘchent de croĂźtre Ă la ressemblance morale de celui que tout croyant peut contempler Ă face dĂ©couverte, pour ĂȘtre transformĂ© Ă son image de gloire en gloire 2 Corinthiens 318. Le Seigneur est ainsi privĂ© de la gloire qui lui revient par un tĂ©moignage fidĂšle. Il nây a pas que les systĂšmes humains qui entravent le dĂ©veloppement spirituel et privent le PĂšre et le Fils dâun culte vrai et dâune marche fidĂšle dans la jouissance de la grĂące. Les mille choses de ce monde, lĂ©gitimes et autres, qui occupent le cĆur et distraient de sa personne, nous sont nuisibles et nous causent une perte prĂ©sente et Ă©ternelle. Le rachetĂ© ne peut avoir dâautre objet pour son cĆur que son Seigneur. Les paroles que lâEsprit de Dieu adresse Ă lâĂ©pouse juive du Roi, sâadressent Ă son Ă©pouse cĂ©leste aujourdâhui Ăcoute, fille! et vois, et incline ton oreille; et oublie ton peuple et la maison de ton pĂšre; et le roi dĂ©sirera ta beautĂ©, car il est ton seigneur adore-le» Psaume 4511, 12. En principe, câest la position quâavait prise le Samaritain guĂ©ri, et celle que doit prendre tout rachetĂ© du Seigneur sur la terre, en attendant de la rĂ©aliser dans la gloire. Lâavons-nous tous prise? Le royaume de Dieu v. 20-37. â Aux pharisiens qui demandaient Ă JĂ©sus quand viendrait le royaume de Dieu, il rĂ©pond Le royaume de Dieu ne vient pas de maniĂšre Ă attirer lâattention; et on ne dira pas Voici, il est ici; ou, voilĂ , il est lĂ . Car voici, le royaume de Dieu est au milieu de vous» v. 20-21. Les pharisiens pensaient naturellement Ă lâĂ©tablissement du royaume en gloire, tel que les prophĂštes lâavaient annoncĂ©. Ils sâattendaient Ă une apparition sensationnelle du roi pour lâĂ©tablir; mais ils se prĂ©occupaient fort peu du caractĂšre moral du royaume, sinon pour croire quâeux-mĂȘmes avaient qualitĂ© pour y entrer et pour en jouir. Lâexpression royaume de Dieu» prĂ©sente Ă lâesprit le caractĂšre moral de cet Ă©tat de choses caractĂ©risĂ© par les perfections de Dieu lui-mĂȘme, manifestĂ©es en Christ qui est le Roi. Normalement, un royaume quelconque porte les caractĂšres de son roi. Câest ce que lâon a vu en IsraĂ«l; le roi Ă©tait-il pieux, tout le peuple Ă©tait sous son influence; de mĂȘme sâil Ă©tait idolĂątre. Dans le royaume de Dieu, tout doit sâharmoniser avec les caractĂšres de Dieu. Le Seigneur ici-bas, tout humble, mĂ©prisĂ© et mĂ©connu quâil ait Ă©tĂ© par les hommes, Ă©tait le roi, lâexpression de ce royaume avec toutes ses perfections divines, sans attirer lâattention des hommes qui ne pensaient quâau cĂŽtĂ© apparent et extĂ©rieur. Tout ce quâest Dieu en bontĂ©, en misĂ©ricorde, en sagesse, en justice, en saintetĂ©, en vĂ©ritĂ©, en amour, en lumiĂšre, brillait dans la personne de JĂ©sus; mais, comme il le dit Ă NicodĂšme en Jean 33, il fallait naĂźtre de nouveau pour le voir. Lâhomme naturel en est incapable. Ce royaume ne vient pas de maniĂšre Ă attirer lâattention des incrĂ©dules. Sâadressant aux disciples, JĂ©sus leur dit que le temps viendra oĂč ils dĂ©sireront voir un des jours du Fils de lâhomme, un des jours dans lesquels JĂ©sus mĂ©prisĂ© et rejetĂ© Ă©tait avec eux tandis quâils jouissaient de sa prĂ©sence et de ses bienfaits. Le Seigneur allait les laisser au milieu dâun peuple hostile dont ils endureraient la persĂ©cution. Câest ce qui eut lieu dans les temps qui suivirent le dĂ©part du Seigneur, et cela se continuera, pour le rĂ©sidu, aprĂšs lâenlĂšvement des saints. Alors on dira Ă ceux qui attendront le Seigneur dans la souffrance et les tribulations de ces jours-lĂ Il est ici, ou il est là », en vue de les Ă©garer. JĂ©sus les en prĂ©vient afin quâils nâĂ©coutent pas ces indications trompeuses. Car», dit-il, comme lâĂ©clair qui brille, luit de lâun des cĂŽtĂ©s de dessous le ciel jusquâĂ lâautre cĂŽtĂ© de dessous le ciel, ainsi sera le Fils de lâhomme en son jour. Mais auparavant il faut quâil souffre beaucoup, et quâil soit rejetĂ© par cette gĂ©nĂ©ration» v. 24-25. Nous lâavons souvent dit JĂ©sus prend le titre de Fils de lâhomme lorsque son rejet comme Messie est un fait reconnu. RepoussĂ© comme tel lorsquâil vint en grĂące, il apparaĂźtra soudainement, semblable Ă lâĂ©clair, comme Fils de lâhomme, pour juger ceux qui le rejettent et dĂ©livrer ceux qui lâattendent. Avant cela, JĂ©sus devait beaucoup souffrir pour accomplir lâĆuvre de la rĂ©demption en vertu de laquelle le royaume pourrait sâĂ©tablir; la gĂ©nĂ©ration qui refusait de reconnaĂźtre le royaume venu dans sa personne le rejetterait dĂ©finitivement. On remarquera la rĂ©ponse aux pharisiens quant au royaume v. 20-21, faite de maniĂšre Ă atteindre leur conscience; ils Ă©taient responsables de voir le royaume dans la personne de JĂ©sus; câest pourquoi il leur dit Le royaume est au milieu de vous». Sâils ne le recevaient pas de cette maniĂšre, ils en seraient exclus Ă toujours, tandis quâaux disciples qui lâavaient reçu, JĂ©sus donne tous les renseignements relatifs Ă son Ă©tablissement en gloire et Ă leur conduite dans les temps qui prĂ©cĂ©deront son apparition. JusquâĂ lâĂ©tablissement du royaume par le Fils de lâhomme, la gĂ©nĂ©ration qui a rejetĂ© le Christ ne se prĂ©occupera pas plus de lui que des jugements, consĂ©quence de son rejet. Elle continuera, comme les hommes aux jours de NoĂ© et de Lot, Ă ne songer quâĂ la vie prĂ©sente, comme si tout allait bien pour elle. Le jour du Fils de lâhomme surprendra ceux qui ne lâattendent pas, aussi sĂ»rement que le dĂ©luge sur le monde antĂ©diluvien, et aussi soudainement que le feu du ciel tombĂ© sur les habitants de Sodome v. 27-30. Les fidĂšles ont des instructions Ă suivre pour ce temps-lĂ v. 31. Il faudra tout abandonner, tout quitter, sans regrets, sans arriĂšre pensĂ©e, le cĆur dĂ©tachĂ© de tout ce qui se trouvera dans le lieu sur lequel les jugements tomberont. La femme de Lot sert dâexemple v. 32; son cĆur sâattachait encore aux choses que le feu consumait et le jugement lâatteignit. Câest pourquoi il faut sâen souvenir. LĂ oĂč est le trĂ©sor, lĂ est le cĆur; câest terrible lorsquâil sâaffectionne aux choses que Dieu consume. Quiconque cherchera Ă sauver sa vie, la perdra; et quiconque la perdra, la gagnera» v. 33; câest-Ă -dire que perdre sa vie humaine avec tout ce qui se rapporte Ă elle, câest gagner la vie Ă©ternelle, soit pour jouir du rĂšgne, soit pour le ciel. Les v. 34-35 montrent que deux hommes ou deux femmes pourront se trouver ensemble dans les mĂȘmes circonstances, lorsque le jugement tombera sur le peuple apostat; il en prendra un et laissera lâautre pour jouir du rĂšgne. Lorsque le Seigneur viendra pour enlever les saints, aujourdâhui peut-ĂȘtre, lâinverse aura lieu; un converti et un inconverti pourront ĂȘtre dans un mĂȘme lit ou aux mĂȘmes occupations; celui qui sera pris sera enlevĂ© pour ĂȘtre avec le Seigneur, et lâautre, laissĂ© pour les jugements. Lorsque le Seigneur viendra pour rĂ©gner, ceux qui auront Ă©tĂ© laissĂ©s Ă sa venue pour lâĂglise, seront pris par les jugements, et ceux du peuple juif qui se convertiront depuis leur retour dans leur pays seront laissĂ©s pour jouir du rĂšgne. Nous voyons donc que toute cette scĂšne dĂ©crite par le Seigneur dans les versets qui nous occupent se rapporte aux Juifs. Elle comprend ce qui concernait le peuple et les disciples au moment oĂč JĂ©sus Ă©tait sur la terre, et se continue jusquâĂ son retour en gloire, en faisant abstraction du temps actuel qui concerne lâĂglise. Au v. 37, les disciples demandent oĂč ces jugements auraient lieu. JĂ©sus leur rĂ©pond en langage figurĂ© LĂ oĂč est le corps, lĂ aussi sâassembleront les aigles». Comme les aigles sâabattent sur les cadavres lĂ oĂč ils se trouvent, les jugements tomberont sur le corps mort dâIsraĂ«l apostat, rentrĂ© dans son pays aprĂšs en avoir Ă©tĂ© chassĂ© par les jugements dont le Seigneur ne parle pas ici, mais au chap. 2124 tout particuliĂšrement. Il nâest pas besoin dâĂȘtre bien spirituel pour comprendre lâanalogie qui existe entre les jours dont le Seigneur parle et ceux oĂč nous sommes. Dans les uns comme dans les autres, les jugements sont Ă la porte; et lâon se trouve Ă la fin dâun Ă©tat de choses mauvais, au milieu duquel vivent encore ceux qui attendent le Seigneur, que ce soit comme alors pour son rĂšgne, ou comme aujourdâhui pour enlever son Ăglise et les saints endormis. Il importe de faire partie du nombre de ceux qui lâattendent, et, en lâattendant, dâĂ©chapper au courant envahissant de ce monde qui, malgrĂ© les temps solennels oĂč nous vivons, se conduit comme aux jours de NoĂ© et de Lot. Au lieu de croire les avertissements que donne la Parole de Dieu et dâaccepter le salut, il cherche sa consolation et ses encouragements en sâimaginant quâaprĂšs ces jours mauvais, il viendra des temps meilleurs oĂč lâon pourra continuer Ă vivre et Ă se divertir dans le bien-ĂȘtre et lâinsouciance quant Ă Dieu et quant Ă son avenir Ă©ternel. Au milieu de cet Ă©tat de choses, ceux qui attendent le Seigneur doivent comprendre la voix qui se fait entendre du milieu des Ă©vĂ©nements actuels, car le Seigneur veut dĂ©tacher nos cĆurs de tout ce que nous allons laisser Ă sa venue. Ne ressemblons donc pas Ă la femme de Lot. Elle quittait Ă regret le lieu du jugement, le cĆur rempli de ce quâelle laissait. Le Seigneur veut des cĆurs non partagĂ©s par les choses quâil va dĂ©truire. Pensons Ă son amour, pensons Ă la grĂące qui nous est faite dâavoir la perspective de le voir bientĂŽt et dâĂȘtre avec lui dans le ciel au lieu dâĂȘtre laissĂ©s pour les jugements terribles qui attendent ce monde; cela suffit pour dĂ©tacher le cĆur de ce prĂ©sent siĂšcle. Toutes ces choses devant donc se dissoudre, quelles gens devriez-vous ĂȘtre en sainte conduite et en piĂ©tĂ©, attendant et hĂątant la venue du jour de Dieu, Ă cause duquel les cieux en feu seront dissous et les Ă©lĂ©ments embrasĂ©s se fondront. Mais, selon sa promesse, nous attendons de nouveaux cieux et une nouvelle terre, dans lesquels la justice habite» 2 Pierre 311-13. Que tous ceux qui nâattendent pas le Seigneur ne demeurent pas plus longtemps liĂ©s Ă un monde sur lequel les jugements vont Ă©clater avec terreur, dĂšs que le Seigneur aura enlevĂ© les siens, ce qui aura lieu en un clin dâĆil, peut-ĂȘtre aujourdâhui mĂȘme.
MalheurĂ celui par qui le scandale arrive (2013) Release Info. Showing all 7 items Jump to: Release Dates (7) Release Dates Switzerland 4 May 2013 (French speaking region) (German speaking region) (Italian speaking region) Andorra 10 May 2013: France 10 May 2013: Monaco 10 May 2013: Italy 5 November 2015 : Austria 25 February 2016: Germany 25 February 2016: SeeAdopter VidĂ©os Junior Boutique Faire un don La Fondation LâĂ©dito de BB LâOrganisation ĂgalitĂ© Hommes Femmes Nos combats Abattage sans Ă©tourdissement Chasse ExpĂ©rimentation animale ExpĂ©rimentation animale un dĂ©cret qui fait polĂ©mique⊠Foie gras et gavage Fourrure Hippophagie Spectacles dâanimaux et captivitĂ© Cirques sans animaux Corrida et combat de coqs StĂ©rilisation des chiens et des chats Trafic dâanimaux sauvages Lâarche de BB Refuge de La Mare Auzou Refuge de Bazoches Refuge de Montpon Nos autres sites FBB Junior Fourrure Hippophagie Abattage rituel Sâinformer Nos actualitĂ©s Nos actions Nos aides 2021 Action sociale EnquĂȘtes juridiques Sauvetages Adoption StĂ©rilisation Agenda LâInfo-Journal FBB Junior Sâengager Agir autrement Labels sans cruautĂ© animale VĂ©gĂ©tarisme et vĂ©ganisme Nâachetez pas, adoptez ! MatĂ©riel militant Agenda Signer nos pĂ©titions Devenir famille dâaccueil Devenir hĂ©bergiste Devenir bĂ©nĂ©vole Devenir salariĂ©e Contact La Fondation LâĂ©dito de Brigitte Bardot Nos actualitĂ©s Nos combats Nos actions LâArche de BB Devenir bĂ©nĂ©vole Signer nos pĂ©titions Adopter Faire un don Agir autrement Nos autres sites Contact La Fondation LâĂ©dito de Brigitte Bardot Nos actualitĂ©s Nos combats Nos actions LâArche de BB Devenir bĂ©nĂ©vole Signer nos pĂ©titions Adopter Faire un don Agir autrement Nos autres sites Contact La Fondation LâĂ©dito de Brigitte Bardot Nos actualitĂ©s Nos combats Nos actions LâArche de BB Devenir bĂ©nĂ©vole Signer nos pĂ©titions Adopter Faire un don Agir autrement Nos autres sites Contact L'Ă©ditorial de Brigitte Bardot CrĂ©dit photo Fondation Brigitte Bardot LES ĂDITORIAUX DE BRIGITTE BARDOT
Caril est nĂ©cessaire quâil arrive des scandales; mais malheur Ă lâhomme par qui le scandale arrive! » Matthieu 18:7 Le scandale est une indignation publique, un Ă©tat fĂącheux et honteux DĂ©couvrez ces expressions que nous utilisons depuis notre plus jeune Ăąge. Certaines ont tellement imprĂ©gnĂ© notre culture quâon ne soupçonne pas quâelles puissent avoir une origine par qui le scandale arriveFinancier, politique, alimentaire, social, sexuel, sanitaire, environnemental⊠les qualificatifs ne manquent pas pour caractĂ©riser les diffĂ©rents scandales qui Ă©maillent rĂ©guliĂšrement notre actualitĂ©. Le terme recouvre toutes sortes de rĂ©alitĂ©s ou rĂ©vĂšle ce qui devait rester cachĂ©, le scandale est universel, il a mĂȘme sa aussi Ces expressions qui ont une origine biblique Qui sĂšme le vent rĂ©colte la tempĂȘte »Le Petit Robert nous enseigne que le premier sens courant actuel du mot scandale est un effet fĂącheux, choquant, ayant un grand retentissement dans le public, produit par des faits, des actes ou des propos considĂ©rĂ©s comme contraires Ă la morale, aux usages ». Le terme est beaucoup plus complexe dans la Bible oĂč il est employĂ© Ă plusieurs reprises avec plusieurs niveaux de lecture et dâinterprĂ©tation, notamment du fait des traductions successives, de lâhĂ©breu vers le grec puis du grec vers le mot français scandale vient du grec ecclĂ©siastique skandalon piĂšge placĂ© sur le chemin, obstacle pour faire tomber et, symboliquement, toute occasion de pĂ©cher, comme lâexplique JĂ©sus dans lâĂ©vangile de saint Luc JĂ©sus disait Ă ses disciples âIl est inĂ©vitable que surviennent des scandales, des occasions de chute ; mais malheureux celui par qui cela arrive !â Lc 17, 1Lâhomme, scandale pour lâhomme, le Christ, scandale pour lâhommeDans le domaine moral et religieux, il existe plusieurs maniĂšres de faire tomber » quelquâun. Ce peut ĂȘtre la tentation quâexercent Satan sur les hommes ou les hommes sur leurs prochains. Lâhomme peut ĂȘtre un scandale pour lâhomme lorsquâil cherche Ă le dĂ©tourner de sa foi, Ă lâentraĂźner loin de sa fidĂ©litĂ© Ă Dieu. Un comportement que JĂ©sus condamne avec sĂ©vĂ©ritĂ© Il vaut mieux quâon lui attache au cou une meule en pierre et quâon le prĂ©cipite Ă la mer, plutĂŽt quâil ne soit une occasion de chute pour un seul des petits que voilĂ . » Lc 17, 2Lire aussi Ces expressions qui ont une origine biblique La chair est faible »Mais le scandale » peut Ă©galement dĂ©signer lâĂ©preuve Ă laquelle Dieu soumet son peuple pour jauger sa foi. Dans lâAncien Testament, la pierre de scandale », traduite par pierre dâachoppement », qualifie lâobstacle sur lequel butent les incrĂ©dules, câest lâĂ©preuve de la foi en Dieu Il [le Seigneur de lâunivers] deviendra un lieu saint, qui sera une pierre dâachoppement, un roc faisant trĂ©bucher les deux maisons dâIsraĂ«l, piĂšge et filet pour lâhabitant de JĂ©rusalem. » Is 8, 14Quant Ă JĂ©sus, dans une sociĂ©tĂ© figĂ©e par la tradition, il reprĂ©sente lui aussi celui par qui le scandale arrive » puisque tout, dans sa personne, sa vie et ses paroles, choque ceux qui sont en face de lui. Sais-tu que les pharisiens ont Ă©tĂ© scandalisĂ©s en entendant cette parole ? » lui demandent les disciples Mt 15, 12.Lire aussi Ces expressions qui ont une origine biblique Celui qui prend lâĂ©pĂ©e pĂ©rira par lâĂ©pĂ©e »Suivant les traductions et le contexte, le terme possĂšde donc une ambivalence ! Lâappliquant Ă notre vie de chrĂ©tiens, le pape François a expliquĂ© que le scandale est dire et professer un style de vie â âje suis chrĂ©tienâ â et ensuite vivre comme un paĂŻen qui ne croit Ă rien ». Et cela fait scandale, car le tĂ©moignage manque la foi confessĂ©e est vie vĂ©cue » mĂ©ditation matinale en la chapelle de la maison Sainte-Marthe, novembre 2014.