Le4e Régiment d’Hélicoptères des Forces Spéciales (RHFS), une unité d’élite de l’armée de terre française, est la toute dernière formation d’exception à avoir inspiré – et testé – sa propre montre Oris en édition limitée.
Le détachement ALAT des opérations spéciales DAOS de Pau devient un régiment. Et pas n'importe lequel le 4e régiment d'hélicoptères des forces spéciales ou RHFS. Le choix du numéro, comme de l'appellation ne doivent rien au hasard c'est le grand quatre 4e RHCM, dissous il y a une dizaine d'années qui avait vu l'émergence de la composante aéromobile spéciale, en 1993. La première opération, à l'époque, avait été menée au Rwanda dans un cadre plus humanitaire qu'autre chose avant de mener une récupération d'un pilote britannique éjecté en Bosnie et des SAS qui l'avaient préservé, en avril 1994 1.Ce qui n'était encore qu'une escadrille des opérations spéciales EOS était devenue DAOS en 1997, au sein du groupement spécial autonome GSA.C'est donc aujourd'hui un régiment opérant près d'une quarantaine de machines de cinq types différents Gazelle, Puma, Caracal, Cougar et bientôt le Tigre, pour lequel les premiers équipages sont déjà qualifiés. Son champ opérationnel s'est encore ouvert, ces dernières années, puisqu'il est désormais au service du GIGN dans le cadre contre-terroriste, et au service de tous, en Afghanistan, en effectuant des missions autant, sa taille reste modeste, avec 280 personnels environ. Un chiffre qui s'explique par une maintenance externe assurée pour l'essentiel par le 5e RHC, voisin et par une forte polyvalence. Du secrétaire au chef, chacun est engageable en opérations. Les administratifs pouvant par exemple être engagés comme gunners à bord des HM...Rappelons que l'ALAT conventionnelle déploie trois régiments d'hélicoptères de combat RHC le 3e RHC actuellement en Afghanistan avec trois Gazelle, le 5e RHC à Kaboul avec trois Tigre et le 1er RHC. Ce dernier avait assuré le déploiement en ugence de Gazelle en Afghanistan, en octobre 2008, tout en participant à l'Eufor Tchad/RCA, à la même époque.1 une histoire contée dans le numéro 270 de RAIDS, qui avait consacré une quadrilogie aux "Ailes du COS".Pagedédiée à l'Aviation Légère de l'Armée de Terre (ALAT). Partage d'images et d'informations concernant cette arme. Arme très jeune puisque créée en 1954, ayant longtemps puisé ses références dans l'ensemble des armes dont Samir Bajja, un adjudant français des forces spéciales, né à Nîmes, est mort samedi au Burkina Faso dans un accident d'hélicoptère survenu au cours d'un vol d'entraînement, a annoncé dimanche le ministère de la Défense. Samir Bajja, 38 ans, est né à Nîmes et est sous-officier au 4e régiment d'hélicoptères des forces spéciales de l'Armée de terre à Pau. Il se trouvait à bord d'un Caracal EC 725 de transport de troupes qui s'est écrasé vers 21H00 "lors d'un vol nocturne d'entraînement tactique" indique le communiqué du ministère. Une manoeuvre d'entraînement délicate L'équipage s'entraînait au "poser poussière" en zone désertique, dans le nord du Burkina Faso, une manoeuvre très délicate en raison du nuage de poussière soulevé à l'approche du sol et du "risque de perte de référentiel pour le pilote", a précisé le porte-parole de l'état-major des armées, le colonel Gilles Jaron. Une enquête sera conduite par le Bureau enquêtes accidents de la Défense, a-t-il ajouté. Le soldat qui a péri "appartenait au Service des essences des armées", a ajouté le communiqué. Deux autres membres de l'équipage ont été blessés dans l'accident mais leur pronostic vital n'est pas engagé. Ils ont été pris en charge dans une structure chirurgicale de l'armée française à N'djamena au Tchad et seront évacués prochainement vers la France, a indiqué le colonel Jaron. Le ministre rend hommage au courage de Samir Bajja "Jean-Yves Le Drian salue l'engagement courageux de l'adjudant Samir Bajja", ajoute son entourage. "Engagé dans les armées depuis 16 ans, il avait notamment servi en Côte d'Ivoire, en Afghanistan, au Tchad et au Mali. Il était médaillé de la Croix de la valeur militaire au titre de son engagement au Mali". Le ministre de la Défense "adresse ses condoléances à sa compagne, à ses proches et à ses compagnons d'armes. Il souhaite un prompt rétablissement aux soldats blessés". Le deuxième mort au Sahel depuis août dernier L'adjudant Bajja "est le deuxième soldat français à mourir au Sahel depuis le lancement de l'opération Barkhane le 1er août dernier", note le communiqué officiel. "Cette opération vise à lutter, aux côtés de nos partenaires burkinabés, nigériens, maliens, mauritaniens et tchadiens, contre les groupes armés terroristes présents dans la bande sahélo-saharienne". Dans le cadre de ce nouveau dispositif Barkhane - soit 3 200 soldats français actuellement, déployés dans cinq pays du Sahel - des forces spéciales, dotées d'hélicoptères, sont basées à Ouagadougou, capitale du Burkina Faso d'où elles rayonnent sur toute la zone.
Nos forces spéciales conserveront leurs Gazelle au moins jusqu’en 2030 !L’information ne surprendra pas forcément grand-monde. Alors que le ministère des Armées se prépare le contrat de série des Airbus Helicopters H160M Guépard la partie liée au remplacement des vénérables Aérospatiale Gazelle laisse entrevoir des trous dans la raquette. De manière assez surprenante le parent pauvre de ce contrat pourrait s’avérer être le 4e Régiment d’Hélicoptères des Forces Spéciales. D’ores et déjà il est avéré que cette unité d’élite de l’Aviation Légère de l’Armée de Terre conservera ses monoturbines encore au moins neuf ou dix on pense au 4e Régiment d’Hélicoptères des Forces Spéciales la première image qui vient c’est forcément les hélicoptères de manœuvres Eurocopter EC725 Caracal et Cougar Modernisés qui viennent en tête. Ces deux modèles d’hélicoptères sont véritablement iconique de l’unité. Pourtant l’une des machines les plus importantes reste la petite Aérospatiale
MMXPG2.