Cescompagnons nous quittent et nous quittons à notre tour la cabane. Une descente amusante dans la neige, puis aux cabanes de Courbet, les raquettes réintÚgrent les sacs à dos, nous reprenons le sentier, retraversons le guet et arrivons aux voitures vers 16h. Inutile de relater la halte à BagnÚres, le récit serait trop répétitif
Merci Ă  Edith Lawniczak pour cet article. Juliane Koepcke Juliane Koepcke avait dix-sept ans et voulait dĂ©sespĂ©rĂ©ment rentrer chez elle. Elle venait de terminer ses Ă©tudes secondaires Ă  Lima et rentrait chez elle dans la station de recherche biologique de Panguana, que ses parents avaient fondĂ©e, au plus profond de la forĂȘt amazonienne Ă  environ 150 km au sud de Pucallpa. Elle vivait Ă  Panguana, par intermittence, depuis trois ans avec sa mĂšre, Maria, et son pĂšre, Hans-Wilhelm Koepcke, tous deux zoologistes. Leur vol Ă©tait la veille de NoĂ«l 1971 et l’avion avait dĂ©jĂ  sept heures de retard. Il Ă©tait juste avant midi lorsque Juliane et sa mĂšre ont finalement embarquĂ© sur le vol. Le vol vers Pucallpa devait durer moins d’une heure. Environ 25 minutes aprĂšs le dĂ©collage, le vol LANSA 508 a volĂ© dans une zone d’orages et de fortes turbulences et l’avion a commencĂ© Ă  trembler violemment. Les compartiments supĂ©rieurs se sont ouverts, inondant les passagers et l’équipage de bagages et de cadeaux de NoĂ«l. L’avion aurait pu faire demi-tour mais il y avait une pression pour respecter le calendrier des vacances, et les pilotes ont donc continuĂ© Ă  voler. AprĂšs une dizaine de minutes de secousses, Juliane a vu un Ă©clair trĂšs lumineux frapper l’aile gauche. Elle a entendu sa mĂšre dire C’est la fin, c’est fini. ImmĂ©diatement aprĂšs, l’avion a commencĂ© Ă  piquer du nez. Il faisait nuit noire et les gens criaient, puis le rugissement profond des moteurs m’a complĂštement rempli la tĂȘte », se souvient Juliane. Lorsque l’avion est tombĂ©, il s’est brisĂ©, la sĂ©parant de tout le monde Ă  bord. La prochaine chose qu’elle sut, c’est qu’elle Ă©tait dehors, toujours attachĂ©e Ă  son siĂšge et plongeant dans la jungle en contrebas. Je pouvais voir la canopĂ©e de la jungle tourner vers moi. Ensuite, j’ai perdu connaissance et je ne me souviens de rien de l’impact », a-t-elle dĂ©clarĂ©. Lorsqu’elle s’est rĂ©veillĂ©e le lendemain, elle s’est retrouvĂ©e entourĂ©e d’un feuillage dense. Il n’y avait personne d’autre. L’avion volait Ă  une altitude de 6400 mĂštres lorsqu’il a heurtĂ© l’orage. Il s’est brisĂ© Ă  environ 3000 mĂštres et elle est tombĂ©e de cette hauteur. Sa survie Ă©tait miraculeuse. MĂȘme ses blessures – une clavicule cassĂ©e, une entorse au genou et quelques entailles aux Ă©paules et aux jambes – Ă©taient mineures. Je suis allongĂ©e lĂ , presque comme un embryon pour le reste de la journĂ©e et toute une nuit, jusqu’au lendemain matin », Ă©crit-elle dans ses mĂ©moires, When I Fell From the Sky , publiĂ©s en 2011. Je suis complĂštement trempĂ©e, couverte de boue et de terre, car il a dĂ» pleuvoir pendant un jour et une nuit ». C’était le milieu de la saison des pluies, il n’y avait donc pas de fruits Ă  portĂ©e de main Ă  cueillir et pas de brindilles sĂšches avec lesquelles faire un feu. MalgrĂ© sa situation prĂ©caire, Juliane n’a pas ressenti de peur, seulement un sentiment d’abandon sans bornes ». Ayant passĂ© trois ans avec ses parents dans leur station de recherche, Juliane a beaucoup appris sur la vie dans la forĂȘt tropicale. J’ai reconnu les sons de la faune de Panguana et j’ai rĂ©alisĂ© que j’étais dans la mĂȘme jungle », a-t-elle dĂ©clarĂ©. Son pĂšre avait appris Ă  Juliane comment survivre au cas oĂč elle se perdrait dans les sous-bois inhospitaliers. Cherche toujours un ruisseau », lui avait dit son pĂšre. Suivez le ruisseau jusqu’à une riviĂšre. Les riviĂšres sont les routes des Indiens Konibo, Shipibo et Cacataibo, des bĂ»cherons et des propriĂ©taires de plantations. Si vous vous perdez dans la jungle, les riviĂšres peuvent ĂȘtre votre seul espoir d’atteindre la civilisation. Alors, s’armant d’un bĂąton pour Ă©loigner les serpents venimeux, Juliane se mit Ă  la recherche d’une riviĂšre. Juliane portait une mini-robe trĂšs courte sans manches et des sandales blanches. Elle avait perdu ses lunettes sans lesquelles elle pouvait Ă  peine voir. Elle a Ă©galement perdu une chaussure mais a gardĂ© l’autre pour tester le sol devant elle pendant qu’elle marchait. La premiĂšre chose que Juliane a faite a Ă©tĂ© de chercher sa mĂšre Ă  proximitĂ© de l’accident. Mais elle ne trouva aucun dĂ©bris. A quelques encablures, elle a trouvĂ© un petit colis tombĂ© de l’avion Ă  l’intĂ©rieur duquel se trouvaient des jouets et un morceau de gĂąteau de NoĂ«l. Elle a essayĂ© de manger le gĂąteau mais il Ă©tait saturĂ© d’eau de pluie. Mais il y avait un petit sac de bonbons dans le colis de NoĂ«l. Elle l’a rentrĂ©. La jungle Ă©tait pleine de dangers. Des araignĂ©es et des serpents venimeux se cachaient parmi le feuillage. Dans l’air il y avait des mouches et des moustiques. Il y avait des fruits et des baies d’apparence dĂ©licieuse suspendus aux arbres voisins, mais Juliane Ă©vitait tout ce qu’elle ne reconnaissait pas car ils pourraient ĂȘtre toxiques. Juliane a rapidement trouvĂ©e une petite source et a commencĂ© Ă  la suivre, espĂ©rant qu’elle finirait par mener Ă  une riviĂšre. Le quatriĂšme jour, elle a trouvĂ© les premiers dĂ©bris de l’accident – un banc avec trois passagers enfoncĂ©s la tĂȘte la premiĂšre dans le sol. La vue des cadavres lui fit frissonner le dos. Le manque de nourriture, la chaleur, les piqĂ»res incessantes des moustiques et ses blessures commençaient Ă  l’entraĂźner vers le bas. Sa clavicule, cassĂ©e dans la catastrophe, devenait de plus en plus douloureuse chaque jour. La blessure au pied rendait la marche plus difficile Ă  mesure que les jours s’écoulaient lentement. Mais elle a quand mĂȘme continuĂ©. La riviĂšre s’élargissait et coulait plus rapidement. Le 10e jour, elle trĂ©bucha au bord d’une grande riviĂšre. LĂ , elle trouva un petit bateau amarrĂ© au bord de la riviĂšre, et prĂšs du bateau se trouvait un chemin qui menait Ă  une petite hutte. Il n’y avait personne Ă  l’intĂ©rieur. Elle a trouvĂ©e un bidon d’essence et l’a utilisĂ© pour prodiguer des premiers soins grossiers sur ses blessures. Elle s’est souvenue que son pĂšre soignait une infection par les asticots sur leur chien avec du kĂ©rosĂšne et avait essayĂ© la mĂȘme chose sur ses blessures avec de l’essence. DĂšs qu’elle a versĂ© de l’essence sur ses blessures, des dizaines d’asticots en sont sortis en rampant. Elle a retirĂ© une trentaine d’asticots de ses coupes et s’est sentie immensĂ©ment fiĂšre d’elle-mĂȘme. Cette nuit-lĂ , elle dormit sur les planches nues de la hutte. Le lendemain matin, elle avait l’intention de continuer Ă  descendre la riviĂšre, mais comme il pleuvait Ă  verse, elle dĂ©cida de se reposer un moment. Cette pluie lui a sauvĂ© la vie. Quelques heures plus tard, un groupe de pĂȘcheurs fait irruption dans la cabane et est interloquĂ© par la vue d’une femme blanche hagarde couverte de plaies et Ă  peine vivante. Les hommes ont soignĂ© ses blessures et lui ont donnĂ© Ă  manger. Le lendemain, ils l’ont emmenĂ©e au village le plus proche en bateau, et de lĂ , elle a Ă©tĂ© transportĂ©e par avion Ă  l’hĂŽpital. Juliane Koepcke avait passĂ© onze nuits dans la forĂȘt amazonienne. Elle Ă©tait la seule survivante du vol. AprĂšs son expĂ©rience dĂ©chirante, Juliane est retournĂ©e en Allemagne d’oĂč ses parents sont venus. Comme ses parents, Koepcke a obtenu un diplĂŽme en biologie et est retournĂ©e au PĂ©rou pour faire des recherches approfondies sur les mammifĂšres, en particulier les chauves-souris. Son histoire de survie a fait l’objet d’un film italien de 1974 intitulĂ© Miracles Still Happen et d’un documentaire du rĂ©alisateur Werner Herzog intitulĂ© Wings of Hope . En 2011, elle publie sa propre autobiographie, When I Fell From the Sky . Aujourd’hui mariĂ©e Ă  Erich Diller, un entomologiste spĂ©cialisĂ© dans les guĂȘpes parasites, Juliane Diller dirige dĂ©sormais la conservation fondĂ©e par ses parents. Panguana est aujourd’hui la plus ancienne station de recherche biologique du PĂ©rou. La rĂ©serve abrite plus de 500 espĂšces d’arbres, 160 types de reptiles et d’amphibiens, 100 espĂšces diffĂ©rentes de poissons, sept variĂ©tĂ©s de singes et 380 espĂšces d’oiseaux. Source Amusing Planet Le documentaire du rĂ©alisateur Werner Herzog intitulĂ© Wings of Hope ⇓
6) PremiÚre cabane, de berger. Si la réserve d'eau est basse ou les gorges sÚches, prolonger le détour de 500m en rejoignant au Nord-Nord-Ouest la Fontaine des Bachassons (21). Sinon, retrouver le sentier que l'on vient de quitter et continuer en face sur le petit sentier dont la marque ténue serpente beaucoup. Se fier aux petits cairns.
SAINT PAUL SPORTS 0 PAU FC 2 2 Il faudrait ĂȘtre de mauvaise foi pour affirmer que la victoire paloise en terre landaise fut volĂ©e . Il est sĂ»r qu'aucun des supporters locaux prĂ©sents n'ira dans ce sens . En effet , les bĂ©arnais se sont logiquement imposĂ©s sans que quiconque puisse crier au scandale . Sans se montrer hyper dominateurs , les palois ont ,comme il est dit usuellement , fait le boulot . MalgrĂ© un groupe trĂšs jeune , ils vont d'abord dĂ©montrer une Ă©vidente maturitĂ© dĂ©fensive autour d'un axe central intransigeant et d'un gardien de grande qualitĂ© . Que dire si ce n'est que du bien de leurs milieux de terrain qui Ă©touffĂšrent pendant plus d'une heure toute vellĂ©itĂ© offensive landaise . Et enfin , preuve de leurs qualitĂ©s , ils vont transformer leurs deux seules occasions franches en buts . Le premier , certainement quelque peu heureux , dĂšs la 20 Ăšme minute en concrĂ©tisant un coupable errement dĂ©fensif local aux abords de la surface de rĂ©paration et le second Ă  la 80 Ăšme minute sur un contre rondement par leur numĂ©ro 10 , petit par la taille mais qui fit Ă©talage d'un grand talent en grillant cotĂ© droit une dĂ©fense locale aux abois .Il exĂ©cuta alors un centre en retrait millimĂ©trĂ© dans les pieds de son attaquant qui n'eut plus qu'Ă  pousser le ballon dans les filets . Et les saint paulois dans tout ça ? Ils se sont montrĂ©s bien discrets pendant plus d'une heure surtout au milieu de terrain oĂč seul Perez comme Ă  son habitude tira son Ă©pingle du jeu . La premiĂšre occasion franche des protĂ©gĂ©s de Cantaloube va intervenir Ă  la 65 Ăšme minute sur une frappe de Jacob magnifiquement dĂ©tournĂ©e par le portier palois . Jusque lĂ  et mĂȘme jusqu'au coup de sifflet final , trop de dĂ©chets dans le dernier geste empĂȘchĂšrent les hommes de Loutalot de redresser la tĂȘte . Et pourtant ils se retrouvĂšrent en supĂ©rioritĂ© numĂ©rique Ă  la 70Ăšme minute , un dĂ©fensif palois Ă©tant priĂ© de regagner les vestiaires coupable d'avoir reçu deux cartons jaunes . La rentrĂ©e du vĂ©tĂ©ran Rodrigues va elle aussi apporter plus de fluiditĂ© dans le jeu saint paulois . Mais il Ă©tait certainement Ă©crit Ă  l'avance que les locaux ne trouveraient pas la solution , trop empĂȘtrĂ©s dans de coupables approximations . La fin de la rencontre va ĂȘtre tendue pour ne pas dire autre chose avec un surplus d'adrĂ©naline chez les visiteurs et un trop-plein de frustration local . Les bĂ©arnais finiront la rencontre avec 9 joueurs sur le terrain et les saint paulois Ă  10 unitĂ©s . Le genre de rencontre Ă  oublier trĂšs vite cotĂ© "bleu et blanc" en espĂ©rant toutefois que les titulaires blessĂ©s ou convalescents soient de retour ....au plus vite .
Nousarrivons Ă  la ferme Mayen devant le Lac Mayen qui est plutĂŽt Ă  sec en ce milieu d’automne. De lĂ , nous partons par un chemin sympathique pour le Lac de Segray, mĂ©lange entre partie herbeuse, cailloux et petite vire large. Nous dĂ©bouchons sur le plateau, en dessous de Plan Mayen, Pt1973. LĂ  nous dĂ©couvrons une petite cabane (la PubliĂ© le 17 Mars 2020 par Cositas de toros ChĂšre confinĂ©e, cher confinĂ©. Nous y voila. Nous vivons une pĂ©riode inĂ©dite, angoissante sinon prĂ©occupante oĂč chaque jour bouleverse notre quotidien amenant son lot de directives, ordres et recommandations. Aujourd’hui, toute notre vie, notre organisation sont perturbĂ©es, bouleversĂ©es. Nous n’allons pas reprendre ici, les faits, les Ă©vĂšnements ni les moyens et dispositions mis en place et surtout pas polĂ©miquer, simplement aborder la situation liĂ©e au contexte et seulement dans le secteur qui nous est cher et qui nous rĂ©unit, le monde taurin. Chaque acteur du mundillo est plongĂ© dans l’incertitude, chaque torero, chaque impresa, chaque ganadero. Les cartels, les ferias, les capeas
 sont annulĂ©s ou reportĂ©s parfois Ă  des dates qui semblent encore discutables voire incertaines. Nous n’en ferons pas la liste, les divers sites taurins s’en chargent. Tous les toreros matadors, novilleros, apprentis, tous bien prĂ©parĂ©s durant l’intersaison, voient, Ă  plus ou moins court terme, leurs efforts et sacrifices anĂ©antis en ce dĂ©but de temporada. Nous pensons en particulier, aux plus jeunes, les novilleros en piquĂ©e ou non piquĂ©e, qui dĂ©couvrent pour certains leurs dĂ©buts remis Ă  plus tard, un contrat Ă  Madrid, un premier habit de lumiĂšres
 Aujourd’hui, les Ă©ventuelles solutions n’existent pas, les jours sont Ă  prendre comme ils viennent, avec philosophie, facile Ă  dire, hĂ©las. La santĂ© publique est en danger, des personnes meurent, nous ne l’oublions pas. Nous ne pouvons pas faire preuve d’égoĂŻsme et pleurer sur notre sort d’aficionado. Mais je garde une sincĂšre pensĂ©e pour tous les ganaderos dont beaucoup d’entre-eux vivent sur le fil du rasoir. Quid des toros, novillos, erales non "lidiĂ©s" ? La perte des ventes de leur bĂ©tail apportera en plus un surcoĂ»t de dĂ©penses alimentaires et de frais vĂ©tĂ©rinaires. Voici la vĂ©ritable solitude du ganadero qui survient dans ces temps hostiles. L’impact peut ĂȘtre autrement sĂ©rieux. Si l’homme a deux oreilles et une bouche, c’est pour Ă©couter deux fois plus qu’il ne parle » affirmait Confucius
 en thĂ©orie seulement car aujourd’hui nous parlons plus Ă  tord et Ă  travers que nous n’écoutons. Enfin, tout ceci pour dire que en dehors des oreilles et de la bouche, nous avons aussi un cƓur. Il faudra le dĂ©montrer lorsque l’état de guerre sera levĂ©, et nous, aficionados, nous nous ruerons au campo, soutenir nos ganaderos en organisant, chĂšres peñas et clubs taurins, de belles journĂ©es. N’oublions pas que pour nombre d’entre-eux, nos visites ont aussi une valeur Ă©conomique. Sortons de l’Enfer, lieu si "dĂ©plaisant" et vivement de nouveaux jours heureux ! PS. De mon canapĂ©, je vous invite Ă  lire, Ă©crire, Ă©couter de la musique, Ă  trouver un nouveau rythme. C’est le moment de vous lancer dans de nouveaux hobbies et de rĂ©apprendre les bienfaits de la patience et de la rĂ©flexion. Cultivons la patience ! Gilbert Lamarque
la cabane est tombée sur le chien
Hiermatin, il m'est arrivé une catastrophe Une fois remis de mes émotions,et. rien que pour vous, avec mon pÎpa, j'ai fait une reconstitution Hier matin, vers 5h30, aprés avoir
Le blog des amis du rugbyQu'est-ce que c'est ce blog ? C'est un blog dans lequel nous parlerons de rugby en gĂ©nĂ©ral et du RC Saint-Vite en particulier. A vous d'Ă©changer, de dĂ©battre, de jouer autour d'un thĂšme qui nous passionne tous le ruchebi. PubliĂ© le 9 janvier 2007 Je profite de deux minutes pour vous faire un coucou "amis du rugby". Comme vous l'avez peut ĂȘtre constatĂ©, j'Ă©mets moins d'article ces jours-ci. En effet, je n'ai pas vraiment le temps en ce moment. Je vais quand mĂȘme essayer de balancer quelques photos cette semaine. Aussi, je remarque que vous laissez de moins en moins de commentaire. C'est quoi ce bord...? A trĂšs plus, Fabien Galtouse

Lespoux rouges ( Dermanyssus gallinae) sont des acariens parasites hĂ©matophage s, c’est-Ă -dire qu’ils se nourrissent du sang de leurs proies. Lucifuges, les poux rouges craignent la lumiĂšre et restent cachĂ©s dans le poulailler pendant la journĂ©e et s’attaquent aux poules durant la nuit. VoilĂ  pourquoi il est particuliĂšrement

Vues 216 CHIFFRE D’AFFAIRE 24,699 Milliards d’ €uros + 1,2% Ă  pĂ©rimĂštre et change constants. RÉSULTATS D’EXPLOITATION 892 Millions d’ €uros - 12,2 % Ă  pĂ©rimĂštre et change constants RÉSULTAT NET 798 Millions d’ €uros - 4,2 Ă  pĂ©rimĂštre et change constants. C’est la prĂ©sentation des rĂ©sultats financiers qui a Ă©tĂ© faite au Conseil d’Administration du Groupe La Poste le 21 fĂ©vrier 2019. Lire –> CommuniquĂ© CGT FAPT – RĂ©sultats Poste 2018 Sur le mĂȘme thĂšme RetraitĂ©s Flash UFR n°9/11 Vues 94 Retrouvez en clic le FLASH UFR 09-11 , production de notre Union FĂ©dĂ©rale des RetraitĂ©s CGT FAPT. Pour des retraitĂ©s toujours mieux informĂ©s, vous pouvez aussi vous abonner Ă  Vie Nouvelle . Secteur postal Lettre des administrateurs CGT Poste n°164 Vues 89 Retrouvez en un clic la Lettre CA Poste CGT n°164 compte-rendu du Conseil d’Administration de la Poste des 13 juin et 25 juillet 2012. Au sommaire Grand Dialogue IntĂ©ressement Info sur le [
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France- Monde Courrier des lecteurs La cabane est tombée sur le chien Courrier des lecteurs Publié le 20/12/2004 à 08:44 Alain Salissard, Figeac (Lot).
Le rugby c'est avant tout une histoire de jargon, de verve, de vocabulaire riche et fleuri et aussi d'accent du sud-ouest. Et quand on n'est pas habituĂ©s, ça peut ĂȘtre trĂšs compliquĂ© de piger tout ce qui se passe. Parce que connaĂźtre les rĂšgles c'est une chose, mais dĂ©crypter les commentaires des fans de rugby et des commentateurs c'en est une autre. Alors pour vous aider un peu, on vous a illustrĂ© tout ça, vous verrez c'est beaucoup plus clair. La cabane est tombĂ©e sur le chien Imaginez que votre Ă©quipe est menĂ©e de 6 petits points, vous n'ĂȘtes qu'Ă  un essai transformĂ© de la victoire, il reste encore 10 minutes de jeu quand soudain vos adversaires interceptent une passe et remontent tout le terrain pour inscrire un essai qui vous enfonce presque certainement la cabane vient de tomber sur le chien. Autrement dit, il ne vous reste plus grand espoir et vous avez envie de pleurer. Illustrations photo Romain D Moostik Le cochon est dans le maĂŻs Le cochon dans le maĂŻs est finalement assez proche de la cabane tombĂ©e sur le chien dans le sens oĂč ça sent plutĂŽt le roussi et que bon, on ne donne plus bien cher de votre peau. Les adversaires enchaĂźnent les points et concrĂštement Ă  moins d'un miracle vous ĂȘtes un peu foutu. Illustrations photo Romain D Moostik Remettre l'Ă©glise au centre du village En gros, imaginez que le petit challenger fout une pĂ©tĂ©e au favori en premiĂšre mi-temps, et que ce dernier se rĂ©veille en 2nde mi-temps et retourne la situation pour remettre les points sur les i. Ça dit bien ce que ça veut dire. Illustrations photo Romain D Moostik Les mouches ont changĂ© d'Ăąne Autrement dit, le vent a tournĂ© et les mouches qui se rĂ©galaient sur l'Ăąne le plus en forme de la partie ont dĂ©cidĂ© de passer Ă  l'Ăąne d'en face depuis qu'il est passĂ© en tĂȘte au score. Illustrations photo Romain D Moostik Le chat est maigre Si votre Ă©quipe gagne d'un petit point sans bonus offensif et aprĂšs en avoir sacrĂ©ment chiĂ©, on peut dire que le chat entendez le score est plutĂŽt maigre. En gros vous avez gagnĂ©, mais c'est pas pour autant la peine de vous la ramener. Illustrations photo Romain D Moostik La jument n'a pas encore tournĂ© le dos au foin Au rugby, on sait qu'un match peut tourner Ă  n'importe quel moment et c'est ce que veut dire l'expression de la jument. Rien n'est encore gagnĂ©, rien n'est jouĂ©, et la jument n'a pas encore fait son choix. Donc on se concentre et on fait en sorte de bien jouer si on veut gagner. Illustrations photo Romain D Moostik C'est Ă  la fin de la foire qu'on compte les bouses Encore une maniĂšre de dire qu'au rugby tout peu trĂšs vite changer et que ce n'est pas parce que vous ĂȘtes menĂ©s de 15 points Ă  la mi-temps que le match est perdu c'est Ă  la fin du match qu'on compte les points et c'est Ă  la fin de la foire qu'on compte les bouses, on ne peut pas faire plus clair. Illustrations photo Romain D Moostik Et voilĂ , maintenant grĂące Ă  nous vous pourrez faire semblant de vous y connaĂźtre en rugby. Et si ce top vous a plus, sachez qu'on en a fait une chouette vidĂ©o ! Vous pouvez aussi retrouver les meilleures phrases de rugbymen ici.
\n la cabane est tombée sur le chien
lacabane des oies est indispensable pour leur servir d’abri la nuit et les protĂ©ger des prĂ©dateurs. suivez ces quelques conseils pour la construire en vous servant du modĂšle proposĂ©. que fautil prĂ©voir pour leur assurer un logemant adĂ©quat? les oies sont fort peu exigeantes pour leur habitat. un prĂ© couvert d’herbes fraĂźches, une cabane pour s’abriter des grosses intempĂ©ries
Salut jeune Kopkid, comme le dit Charles Aznavour dans sa chanson, nous allons commencer Ă  te parler d’un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaĂźtreeueueu » avec le duo de commentateurs Roger Couderc/Pierre AlbaladĂ©jo qui a beaucoup aidĂ© Ă  rendre populaire le rugby au dĂ©but des annĂ©es 60. Le premier Roger connaitra d’abord la popularitĂ© pour ses commentaires enflammĂ©s lors des nombreux combats de catch diffusĂ©s le vendredi soir. Cette faconde = facilitĂ© Ă  parler l’amena petit Ă  petit Ă  commenter le rugby oĂč son accent du sud-ouest fit merveille. Il n’avait pas son pareil pour transformer une charge des avants de BĂ©ziers en Ă©popĂ©e hollywoodienne Hollywood lieu mythique oĂč on fabrique les grands films amĂ©ricains, pour pousser en mĂȘlĂ©e avec les gros » ou relancer de son en-but avec les gazelles » ! Ses hurlements allez les petits! » pour encourager l’Equipe de France le rendit cĂ©lĂšbre et le fit surnommer le seiziĂšme homme »! Roger Couderc et Pierre Albaladejo
le sourire du rugby ! Pierre Albaladejo, ancien grand joueur de Dax et de l’équipe de France au poste de demi d’ouverture numĂ©ro 10, rejoint ensuite Roger Couderc pour commenter les matchs Ă  la radio, formant ainsi un duo qui existe toujours aujourd’hui en tĂ©lĂ©vision un commentateur, un consultant. Ce fut une rĂ©volution » Ă  l’époque, beaucoup de Français coupant mĂȘme le son de la tĂ©lĂ©vision pour Ă©couter les commentaires du duo. Roger Couderc s’en amusait l’équipe de France joue en bleu cĂŽtĂ© gauche de votre transistor =poste de radio et les Anglais Ă  droite » ! Mais revenons Ă  Pierre Albaladejo avec son accent et son vocabulaire de Landais, il rendait perplexe tout habitant du nord de la Garonne en dĂ©clarant par exemple la bĂ©chigue est passĂ©e entre les pagelles ! » traduction » la balle est passĂ©e entre les poteaux », ou bien la cabane est tombĂ©e sur le chien » ou encore il lui a mis un de ces ramponneaux! ». Chabal, grand spĂ©cialiste des ramponneaux » en action sur un nĂ©o-zĂ©landais! Allez les kids, on ne pouvait pas rĂ©sister Ă  l’envie de vous faire partager quelques expressions cultes du Rugby
 avec leur traduction » ! Un ramponneau est un plaquage trĂšs dur et une biscouette est une belle feinte! La cabane est tombĂ©e sur le chien ça y est le rĂ©sultat du match est acquis Les mouches ont changĂ© d’ñnes l’équipe qui menait vient de se faire dĂ©passer Le cochon est dans le maĂŻs aĂŻe aĂŻe aĂŻe, ça sent le roussi ! Le chat est maigre le score est petit ! La jument n’a pas encore tournĂ© le dos au foin rien n’est encore acquis ! C’est Ă  la fin de la foire qu’on compte les bouses le score n’est certain qu’aprĂšs le coup de sifflet final ! Et maintenant quelques grandes phrases rugbystiques vraiment prononcĂ©es par des joueurs! Les avants ont gĂ©nĂ©ralement leur QI Quotient Intellectuel inscrit dans le dos Un vrai coup de godasse sur un type Ă  terre, c’est encore plus dur Ă  donner qu’à recevoir ! Le rugby, c’est comme la dinde sans marrons, c’est vulgaire! Heureusement qu’il y avait mon nez, sinon je l’aurais pris dans le visage ! Le ballon de rugby, c’est un Ɠuf de pack ! le pack est l’ensemble des avants Au rugby, un caramel, ce n’est pas une friandise ! Ce qu’on appelle un bobo chez nous, c’est une blessure dans les autres sports ! Il en existe beaucoup d’autres mais, dĂ©solĂ© les Kids,
 la cabane est tombĂ©e sur le chien !
LeVifWeekendbe. Une cabane de pĂȘcheurs, un cube vitrĂ© en pleine nature ou un igloo en bois flottant : voici une petite sĂ©lection de lieux qui invitent aussi bien Ă  la paresse qu’à la
Par TimothĂ©e Zappi - montdemarsan le 06/06/2022 Ă  18h56Mis Ă  jour le 06/06/2022 Ă  18h58 Le Stade Montois, finaliste déçu de Pro D2, et l’USAP, vainqueur de l’UBB pour son dernier match de Top 14 de la saison, se retrouvent en barrage dimanche 12 juin, avec une envie et un Ă©tat de forme diamĂ©tralement opposĂ©s SincĂšrement, on ne s’y Ă©tait pas prĂ©parĂ©s. » C’est en ces termes que Patrick Milhet, manager du Stade Montois a mentionnĂ©, Ă  l’issue de la dĂ©faite de ses hommes en finale contre Bayonne 49-20, le barrage d’accession au Top 14 Ă  venir contre Perpignan, 13ede l’élite Ă  l’issue de la phase rĂ©guliĂšre. Le match contre l’Aviron, que les Stadistes espĂ©raient ĂȘtre le dernier d’une saison magnifique, a fait Ă©clater au grand jour des lacunes jaune et noir parfois entraperçues en championnat, mais toujours corrigĂ©es. À l’inverse, les Catalans ont bouclĂ© l’exercice avec un succĂšs de prestige 22-15... SincĂšrement, on ne s’y Ă©tait pas prĂ©parĂ©s. » C’est en ces termes que Patrick Milhet, manager du Stade Montois a mentionnĂ©, Ă  l’issue de la dĂ©faite de ses hommes en finale contre Bayonne 49-20, le barrage d’accession au Top 14 Ă  venir contre Perpignan, 13e de l’élite Ă  l’issue de la phase rĂ©guliĂšre. Le match contre l’Aviron, que les Stadistes espĂ©raient ĂȘtre le dernier d’une saison magnifique, a fait Ă©clater au grand jour des lacunes jaune et noir parfois entraperçues en championnat, mais toujours corrigĂ©es. À l’inverse, les Catalans ont bouclĂ© l’exercice avec un succĂšs de prestige 22-15 contre Bordeaux, 3e, et se rendront en fin de semaine Ă  Boniface avec le couteau entre les dents. On va essayer nous aussi d’ĂȘtre À jamais les premiers’’ », a glissĂ© l’entraĂźneur perpignanais Patrick Arlettaz, rĂ©fĂ©rence directe Ă  l’Olympique de Marseille sacrĂ© en Ligue des champions de football en 1993. Aucun club de Top 14 n’a jamais remportĂ© l’access match. On va se dire qu’on veut ĂȘtre Ă  jamais les premiers Ă  l’avoir fait. » Une attitude volontaire, sĂ»re d’elle, combative. À l’image de ce que l’USAP a montrĂ© sur son terrain d’AimĂ©-Giral face Ă  des Bordelais dĂ©cidĂ©ment Ă  la peine en cette fin de phase rĂ©guliĂšre, et qui n’a pas su endiguer les ardeurs catalanes, perdant ainsi l’occasion de se hisser directement en demi-finale. Aucun club de Top 14 n’a jamais remportĂ© l’access match. On veut ĂȘtre Ă  jamais les premiers Ă  l’avoir fait »Perpignan aurait mĂȘme pu espĂ©rer quitter la place de barragiste si le Stade Français s’était, dans le mĂȘme temps, un tant soit peu appliquĂ© face Ă  Brive, 12e. Qu’importe. Depuis le dĂ©but de la saison, les Usapistes, avant-dernier budget de Top 14, savaient que la saison serait rude et qu’ils Ă©taient presque condamnĂ©s Ă  la queue du Ă©tait surtout de ne pas terminer dernier, comme Biarritz, et ainsi filer illico en Pro D2. L’access match est le plus probable en termes de pourcentage », confiait ainsi le demi de mĂȘlĂ©e Tom Ecochard dĂ©but avril. Son manager abondait Tous les matchs jusque-lĂ  doivent nous y prĂ©parer. » L’USAP s’est formatĂ©e depuis un moment Ă  jouer ce barrage et se prĂ©sentera Ă  Mont-de-Marsan les valises pleines de Montois abattusDe quoi laisser craindre le pire pour une formation montoise passĂ©e complĂštement Ă  cĂŽtĂ© de son sujet en finale face Ă  Bayonne, et qui a semblĂ© laisser filer le match aux alentours de l’heure de jeu. La cabane Ă©tant dĂ©jĂ  tombĂ©e sur le chien jaune et noir, les ouailles de Patrick Milhet ont encaissĂ© vingt points en autant de minutes, leur dĂ©fense aux abois laissant filer Ă  l’essai Maqala par deux fois puis Dolhagaray, pourtant pas le plus inspirĂ© des ciel et cette finale et durant toute la fin de saison, joueurs et supporters montois n’ont eu de cesse de rĂ©pĂ©ter que la montĂ©e en Top 14 n’était pas leur prioritĂ©, Ă  l’inverse du sacre de champion de France de Pro D2, eux qui espĂšrent un titre depuis vingt ans et la victoire quasi-oubliĂ©e de 2002. Cette impression que rien ne comptait sauf le bouclier transparaissait dans les derniers instants du match contre Bayonne. AprĂšs son essai inscrit dans les ultimes secondes, Pablo Dimcheff tape en touche comme pour abrĂ©ger le supplice de son Ă©quipe. L’arbitre rappelle aux jaune et noir qu’ils doivent encore tirer la transformation. Un exercice que les Stadistes laissent Ă  leur vĂ©tĂ©ran, Carlos Muzzio, comme si le pilier jouait lĂ  son jubilĂ©, et que le barrage Ă  venir n’existait confĂ©rence de presse d’aprĂšs match, Patrick Milhet, les yeux dans le vide, a indiquĂ© qu’il comptait faire largement tourner pour l’access match, contre un adversaire dont il ignorait alors l’identitĂ©. De quoi remercier tous ses joueurs en donnant du temps de jeu Ă  ceux laissĂ©s pour compte lors de la finale ? Le manager s’en dĂ©fend Ça a Ă©tĂ© un crĂšve-cƓur de faire l’équipe aujourd’hui, on avait 39 joueurs pour 23 places. Je pense qu’on va faire des rotations, amener de l’énergie, de la fraĂźcheur. » Se remobiliser »MalgrĂ© la dĂ©ception, le pilier montois Victor Laval refuse de laisser tomber. Il faut se remobiliser pour le match d’accession dĂšs demain aujourd’hui, NDLR, a-t-il tonnĂ©. Il faut tourner la page, positiver et avancer. Ce groupe a un Ă©norme caractĂšre. Je pense qu’on se remet tous en question rapidement, c’est ce qui fait notre force. Peu importe l’équipe que le coach met, on est tous concernĂ©s. Ça tire tout le monde vers le haut. »La dĂ©convenue subie en finale contre Bayonne ne saurait faire oublier la folle saison de Mont-de-Marsan, premier de la phase rĂ©guliĂšre de Pro D2 avec 106 points. Devant leur public de Boniface, les Stadistes se doivent a minima de tenir la dragĂ©e haute Ă  Perpignan. Et ainsi redonner l’éclat que mĂ©rite cette aventure jaune et noire 2021-2022. De bon augure ? MalgrĂ© leurs huit dĂ©faites en Pro D2 cette saison, phases rĂ©guliĂšre et finales confondues contre Oyonnax, Montauban, Grenoble, Nevers, Vannes, Colomiers, Aix-en-Provence et Bayonne, jamais les Montois n’ont subi deux revers de rang. Une dĂ©faite contre Perpignan aprĂšs s’ĂȘtre inclinĂ©e dimanche contre l’Aviron constituerait donc un fait inĂ©dit. Toujours au rayon des statistiques encourageantes, les jaune et noir n’ont plus connu la dĂ©faite Ă  Boniface depuis le 2 avril 2021 et un revers 14-18 contre Soyaux-AngoulĂȘme.
Lacabane est tombĂ©e sur le chien. Oasis des artistes: PoĂ©sie en ligne, Concours de poĂšmes en ligne - 6453 membres ! S'inscrire. S'inscrire; Navigation; RĂšgles & usages; Accueil; Un hĂ©lico survole les vignes Ă  Segonzac pour Ă©viter que le froid ne s'installe repro CL degrĂ©s ce matin Ă  Segonzac repro CL Par publiĂ© le 27 avril 2017 Ă  9h34, modifiĂ© Ă 14h47. 21 avril 1991. 27 avril 2017. Deux dates qui vont ĂȘtre marquĂ©es au fer rouge dans l’histoire du vignoble cognaçais. Car sur le secteur des plaines et coteaux de Segonzac, au coeur de la Grande-Champagne, les viticulteurs l’assurent "Ici, 80% du vignoble est touchĂ©. On est sur un phĂ©nomĂšne comparable Ă  celui de 1991". 1991, annĂ©e noire oĂč le vignoble charentais a Ă©tĂ© ravagĂ© par le gel. Ce 21 avril-lĂ , deux tiers des bourgeons avaient Ă©tĂ© grillĂ©s par le gel. La production Ă©tait tombĂ© Ă  30/50 hectolitres de vin par hectares, contre 120 en moyenne habituellement. Ce matin, en s’abattant sur des vignes en pleine croissance vĂ©gĂ©tative, le froid a encore fait trĂšs mal. Il faudra attendre pour avoir un bilan complet et fiable de cet Ă©pisode. Notamment demain, pour voir si les feuilles noircissent. Sachant que la matinĂ©e devrait encore ĂȘtre trĂšs froide. Les reprĂ©sentants de la viticulture, du cognac, du pineau et des vins de pays charentais sont actuellement rĂ©unis pour faire un point. 
 "LĂ , la cabane est tombĂ©e sur le chien." Stupeur au rĂ©veil dans le vignoble cognaçais, d’Aigre Ă  Barbezieux en passant par les plaines et coteaux de Grande-Champagne. Les viticulteurs craignaient un coup de froid ils ont Ă©tĂ© servis au-delĂ  de leurs craintes. Moins Ă  7h30, jusqu’à moins 5 vers 6h. En pleine renaissance printaniĂšre de la vigne, cet Ă©pisode de gel tombe mal, trĂšs mal, alors que l’annĂ©e 2016 a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© marquĂ©e par une succession inĂ©dite d’alĂ©as climatiques gel, sĂ©cheresse, grĂȘle. Impossible, pour l’heure, de prĂ©voir l’étendue des dĂ©gĂąts qui toucheront nĂ©cessairement l’ensemble des cultures. Situation inĂ©dite ce matin, sur Segonzac, un hĂ©licoptĂšre survolait Ă  basse altitude des vignes pour lutter contre ce gel, le mouvement des pĂąles devant empĂȘcher l’air froid de s’installer sur les vignes.
ASSOCIATIONLA CABANE SUR LE CHIEN Ă  LA CLUSE-ET-MIJOUX (25300) RCS, SIREN, SIRET, bilans, statuts, chiffre d'affaires, dirigeants, cartographie, alertes, annonces
La cabane est tombee sur le chienLa cabane est tombee sur le chien, le chien est dans le coma et il n’est pas prĂȘt de se reveiller
 C’est a peu pres l’image que donne le PSG ce jour a pres la nouvelle defaite des Bleu et Rouge au Parc hier soir face a Nice. Pharaon me demandait pourquoi je ne parlays pas d’Ederson dans mon post de vendredi dernier. Je lui repondais que ce serait l’objet du post de ce WE. Et bien c’est le cas. C’est Ederson, que je considere comme le meilleur joueur de L1 cette saison, et ne venez pas me rabattre les Oreilles avec Benzema ou Ben Harfa ou Cavenaghi ou n’importe quel joueur de l’OM. Non le meilleur c’est Ederson. D’ailleurs John Michael Aulas l’a dĂ©jĂ  recrute pour la saison prochaine de l’OL. J’espere qu’il le fera jouer, ou le pretera et n’a pas fait cela juste pour le “retirer” du plus donc d’etre le meilleur joueur de L1 cette saison, il est surement le joueur qui vient d’enfoncer le dernier clou dans le du PSG et l’a tres probablement envoye en que le PSG est encore en lice en coupe de France, competition que le club ne peut decemment pas delaisser, pas a ce stade de la competition et surtout pas pour ses supporters ni d’ailleurs pour les joueurs qui veulent se faire remarquer pour attirer l’attention de recruteurs, d’agents et de clubs etrangers pour fuir la L2, ils risquent d’ailleurs de briller en coupe et laisser tomber mentalement le Championnat
. Donc il y a maintenant de tres tres fortes chanes pour que le PSG realize le double Coupe de la Ligue, Coupe de France et descende en L2. Sa seule chance de se sauver s’appelle donc JPP.
Lanuit est tombée sur Samoïlov et pourtant, la station de recherche reste éclairée par de gros projecteurs. L'énorme générateur de la station produit plus d'électricité que ce qui est
\n la cabane est tombée sur le chien
DSpGvB.
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